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  • Sartre, L'Être et le Néant (1943), Tel, Gallimard, p. 88.
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Cours de Philosophie, Tle A : L'Existence et la Mort

Cours

Introduction

  • Clarification conceptuelle 
  • Exercice : Je sais définir les notions
  • L'homme face à la mort
  • La mort comme condition du sens de l'existence
  • Quelques questions liées à la mort
  • Exercice : Je connais ce qu'est le suicide
  • Exercice : Je teste mes connaissances sur l'existence et la mort

Toute existence humaine a pour horizon final la mort. Cependant, l'Homme a une si grande crainte de la mort que mêmes les souffrances les plus intenables ne peuvent anéantir en lui l'espoir d'une survie. Ainsi, tout en étant inscrite au cœur même de l'existence humaine, la mort demeure-t-elle une entrave à notre désir d'éternité. Qu'est-ce que exister à la différence de mourir ? Pourquoi exister si ce n'est pour mourir irrémédiablement ? Faut-il dire de l'existence qu'elle est absurde ? La mort donne-t-elle un sens à l'existence ? Quelles sont les différentes représentations sociales de la mort ? Que penser de certaines questions liées à la mort? Dans le but de répondre à ces questions, nous allons d'abord parler de l'attitude de l'Homme face à la mort, ensuite aborder la question de la mort comme ce qui donne un sens à l'existence et enfin évoquer quelques questions liées à la mort. Mais avant tout propos, nous allons clarifier la notion de l'existence et celle de la mort.

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  • Cours et Etudes d'oeuvres

I- PEUT-ON PENSER CLAIREMENT LA MORT ?

A- La mort, un fait naturel ? 1) la mort, entre nécessité et contingence 2) la mort, une loi naturelle pas comme les autres : la mort, ta mort, ma mort

B- La mort, une réalité irreprésentable 1) pouvons-nous penser notre mort ? 2) pouvons-nous penser la mort ? 3) nous ne pouvons qu’imaginer la mort

II- LA PHILOSOPHIE COMME QUETE DU SENS DE LA VIE OU : COMMENT VIVRE TOUT EN SACHANT QU’ON DOIT MOURIR ?

A- La philosophie, un art de vivre B- Epicure : habitue-toi à penser que la mort n’est rien…

I- LA MORT, UN FAIT NATUREL ? –ESSAI DE DEFINITION

Nous voulons savoir si la mort est quelque chose que nous pouvons penser de façon claire. Il nous faut donc essayer de dégager un concept de la mort, ie, l’ensemble des caractéristiques de cette notion. Qu’est-ce que la mort ?

A- La mort, une loi naturelle ?

1) La mort un événement nécessaire… mais contingent !

La mort est d’abord un événement nécessaire. Nécessaire : qui ne peut pas être autrement. C’est une loi du vivant/ de la nature. Nul ne vit éternellement.

Qui dit nécessaire, ne dit pas non contingent : la contingence désigne ce qui peut arriver par hasard, ce qu’on ne saurait prévoir (ou bien, mais ici ce n’est pas en ce sens là : ce qui peut être autrement qu’il n’est). Ce que l’on ne saurait déduire d’aucune loi.

Tout comme il est nécessaire que tout corps obéit à la loi de la chute des corps, on ne peut déduire de cette loi le moment où la pierre va quitter son lieu, va être déplacée, ou bouger, et donc, obéir effectivement à la chute des corps. De même, on ne peut déduire de la nécessité de la mort le moment où Pierre va mourir. Pierre mourra un jour ou l’autre, mais ce moment est indéterminé. C’est un événement.

La mort est donc quelque chose qui arrivera certainement, mais on ne sait pas d’avance quand ce moment arrivera.

2) La mort, une loi naturelle pas comme les autres : « la » mort, « ta » mort, et « ma » mort

Mais la mort n’est pas un fait ou une loi naturelle(s) comme les autres. Ma mort n’est pas le même « événement » que la mort de quelqu’un en général. La mort, si elle est fin de l’espèce, est aussi fin de l’individu. Or, l’individu est un être irremplaçable, à nul autre pareil. La mort d’un individu n’a rien à voir avec la mort de l’espèce humaine, d’un « homme en tant qu’homme ».

Pour reprendre les termes de V. Jankélévitch , la mort-en-général n’est pas la mort-proche. Faisons un tableau :

La mort c’est pour moi ma mort. Or, ma mort, pour les autres, pour l’espèce humaine, est un fait divers appartenant au cours des choses ; la mort des membres de l’espèce humaine est, de même, à mes yeux, un fait ordinaire, un fait divers. Mais à mes yeux, ma mort se présente comme la tragédie métaphysique par excellence. Ma mort, pour moi, est la fin de tout, la fin totale et définitive de mon existence personnelle et la fin de tout l’univers. Ma mort à moi n’est pas la mort de « quelqu’un », mais elle est une mort qui bouleverse le monde, une mort unique en son genre.

b) la mort de nos proches

La mort, pour nous, c’est la mort de nos proches, d’individus, de personnes qui sont nous sont chères. C’est donc la douleur de la séparation.

Elle se présente donc comme un « fait » insupportable et effrayant, comme un scandale .

B- LA MORT : UNE REALITE IRREPRESENTABLE

Pouvons-nous jamais penser la mort en tant que telle, si la mort est avant tout, quand j’y pense, ma mort ? Avançons un peu dans la caractérisation de cette mort.

1) Pouvons-nous penser notre mort ?

La mort est l’horizon de ma vie, mais je ne peux rien en savoir. Je ne peux ni la sentir, ni la penser.

Ici : dire que nous ne savons pas ce qu’elle est, car quand elle est là, je ne suis plus là ; je ne peux vivre ma mort, savoir ce que c’est de mourir et d’être mort. Cf. fait que prendre conscience de quelque chose suppose une mise à distance, un recul, face à cette chose : ainsi si pendant 1 millième de seconde, je me « vois »/ « sens » mourir, je ne peux vraiment savoir que je meurs …. (Cf. le film « Expérience interdite »)

Je ne meurs jamais pour moi ; pour moi, la mort n’existe jamais, ou : ce n’est jamais moi qui meurs, toujours l’autre. Je ne meurs que pour les autres. Je peux donc concevoir la mort, mais alors, ce concept reste quand même vague. Je ne puis la vivre effectivement.

2) Pouvons-nous penser la mort ?

Nous avons vu que penser la mort en troisième personne, cela paraît être possible, mais on n’atteint ici que le « dehors » de la mort. Je ne peux penser la mort en tant que telle, ie, le caractère tragique, irremplaçable, de « cette » mort pour les proches (car c’est toujours un individu qui meurt).

Mais plus encore, ne peut-on pas dire que l’on ne peut par définition se représenter ce qu’est ou ce qu’a été la mort pour telle et telle personne ? Cela, je ne le sais pas. Il faudrait pour cela que les morts reviennent et témoignent de ce qu’ils ont vu et vécu. Ce qu’est la mort, nous ne le savons donc pas, nous l’imaginons.

3) Bref : on ne peut donc qu’imaginer la mort ! La mort n’est pas représentable de façon claire mais peut seulement être imaginée (pensée confuse)

  • Cf. romans policiers (où on peut vivre de l’intérieur de la conscience du « héros » en train de mourir..) = on vit par procuration ce que ça fait pour l’autre de mourir, et cet autre n’est pas un autre objectivé mais c’est bien une subjectivité • Mythes, religions • Récits des rescapés de la mort…

Conclusion I

Notre imagination ne brode-t-elle pas trop ? Les représentations imagées ou les imaginations de la mort véhiculées depuis les débuts de l’humanité ne remplissent-elles pas trop notre propre représentation de la mort ? Ne peuvent-elles véhiculer de fausses craintes ?

II- LA PHILOSOPHIE COMME QUETE DU SENS DE LA VIE OU : COMMENT VIVRE TOUT EN SACHANT QU’ON DOIT MOURIR ?

A- La philosophie comme art de vivre

On pourrait donc être tenté, en cette fin de première partie, de conclure que la philosophie ne peut en rien nous permettre de trouver le bonheur. En effet, il va de soi que le bonheur ne peut se trouver que si l’on est serein (tranquille, cf. ataraxie) et en harmonie avec nous-mêmes et le monde qui nous entoure. Or, dire oui à nous-mêmes et au monde, c’est-à-dire à la vie, est-ce possible si l’on est angoissé par des représentations inquiétantes quant à la mort ?

Et surtout, comment pouvoir se délivrer des pensées confuses que nous avons sur la mort, si la mort ne peut par définition qu’être pensée confuse ? Il semblerait donc que la mort ne puisse être l’objet de la réflexion philosophique : il n’y a rien à en dire, du moins, on ne peut rien en dire. Elle ne peut jamais faire l’objet d’une pensée claire. Alors, faut-il laisser la mort aux poètes, aux artistes, à la religion ?

On dira justement qu’il y a là une tâche que le philosophe peut tout à fait prendre en charge. La philosophie, rappelons-le, est recherche de la vérité en vue du bien-vivre, du bonheur. Cette recherche est certes d’abord conceptuelle, mais elle suppose aussi et est même avant tout, une tâche de remise en question des préjugés ambiants. Ne peut-elle par conséquent défaire les fausses représentations que nous nous faisons de la mort ? Ne peut-elle au moins nous aider à travailler sur ces représentations, sur cet imaginaire de la mort, qui nous nourrit de craintes infondées ?

B- Comment être heureux, tout en sachant qu’on va mourir ? (Epicure, Lettre à Ménécée)

On voit dans ce texte comment la philosophie peut nous aider à vivre sereinement, heureux, malgré la certitude de la mort. Enjeu ultime de ce texte : montrer que c’est à nous de donner un sens à notre existence. (Cf. Sartre et l’existentialisme, cous conscience).

La question que se pose Epicure est la suivante : doit-on avoir peur de la mort ? Doit-on souffrir à son approche ?

Trois thèses :

1- la mort n’est rien 2- donc, elle n’est pas effrayante 3- par conséquent : il faut jouir de la vie

Développement 1 et 2 :

On peut craindre à juste raison la souffrance occasionnée par la mort. Mais la mort nous prive de toute sensibilité : n’est-ce pas perdre son temps et être assez ridicule que d’avoir peur de ce dont on n’aura pas conscience ?

• Premier argument : syllogisme a) tout bien et tout mal résident dans la sensation b) or la mort éradique nos sensations c) donc la mort n’est ni un bien ni un mal

• Second argument : raisonnement a) quand nous sommes vivants la mort n’est pas là, donc, ne nous concerne pas b) et quand elle est là nous ne sommes plus donc elle ne nous concerne plus

• Au fondement de ces arguments : une distinction vie et mort, et donc, le matérialisme : o Cf. pas d’immortalité : la vie s’arrête, point : la mort n’est pas une sorte de continuation de la vie, de « sur-vie » ! o La vie est donc quelque chose qui se suffit à elle-même o Pas besoin de quelque chose d’extérieur, de transcendant, pour fonder la vie (genre = Dieu ? âme ? esprit ?) –Ici, définir le matérialisme o NB : il faut donc impérativement se débarrasser de la crainte des dieux, et de la croyance en l’immortalité de l’âme, pour profiter de la vie

Précisions sur 3 :

• Ethique sensualiste (pas tout à fait eudémoniste malgré le fait que le bien ait à voir avec le bonheur ; ici, émergence de l’individualisme ? ) : bien = plaisir

• Mais c’est bien une éthique et une philosophie car jouir de l’existence ne veut pas dire faire n’importe quoi de cette existence, car pour jouir le plus longtemps possible de l’existence il ne faut pas satisfaire tous ses désirs de manière chaotique mais en utilisant sa raison (vie heureuse = vie modérée, mesurée, ordonnée).

• Cf. tripartition désirs.

• Peut-être rapprochement avec Sartre : l’existence n’a pas de sens ! mais c’est qu’il ne tient qu’à l’homme de lui en donner un !

Deux questions restent en suspens :

(1) ne peut-on à bon droit, ou, tout à fait rationnellement, avoir peur de perdre ce bien précieux qu’est la vie ?

(2) et si le matérialisme n’est pas fondé, peut-on alors encore espérer trouver le bonheur ? et ne peut-on être non matérialiste sans pour autant croire en l’immortalité de l’âme, et donc, croire que l’on aura un avenir malgré la mort ? –Réponse dans cours vivant, esprit et matière

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  • Dissertation

Exemple de dissertation de philosophie

Publié le 26 novembre 2018 par Justine Debret . Mis à jour le 7 décembre 2020.

Voici des exemples complets pour une bonne dissertation de philosophie (niveau Bac).

Vous pouvez les utiliser pour étudier la structure du plan d’une dissertation de philosophie , ainsi que la méthode utilisée.

Conseil Avant de rendre votre dissertation de philosophie,  relisez et corrigez  les fautes. Elles comptent dans votre note finale.

Table des matières

Exemple de dissertation de philosophie sur le travail (1), exemple de dissertation de philosophie sur le concept de liberté (2), exemple de dissertation de philosophie sur l’art (3).

Sujet de la dissertation   de philosophie  : « Le travail n’est-il qu’une contrainte ? ».

Il s’agit d’une dissertation de philosophie qui porte sur le concept de « travail » et qui le questionne avec la problématique « est-ce que l’Homme est contraint ou obligé de travailler ? ».

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Sujet de la dissertation   de philosophie  : « Etre libre, est-ce faire ce que l’on veut ? ».

Cette dissertation de philosophie sur la liberté interroge la nature de l’Homme. La problématique de la dissertation est « l’’Homme est-il un être libre capable de faire des choix rationnels ou est-il esclave de lui-même et de ses désirs ? ».

Sujet de la dissertation   de philosophie  : « En quoi peut-on dire que l’objet ordinaire diffère de l’oeuvre d’art ? ».

Cette dissertation sur l’art et la technique se demande si  l’on peut désigner la création artistique comme l’autre de la production technique ou si ces deux mécanismes se distinguent ?

Citer cet article de Scribbr

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Debret, J. (2020, 07 décembre). Exemple de dissertation de philosophie. Scribbr. Consulté le 13 avril 2024, de https://www.scribbr.fr/dissertation-fr/exemple-dissertation-philosophie/

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Justine Debret

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L'existence humaine et la culture

  • «L’esprit qui ne sait plus douter descend au-dessous de l’esprit» Alain
  • Ai-je un corps ou suis-je mon corps ?
  • Ai-je une conscience ou suis-je une conscience ?
  • A t-on parfois le droit de se donner bonne conscience ?
  • Autrui est il un autre moi-même ?
  • Autrui est-il un étranger ?
  • Autrui peut-il être pour moi autre chose qu'un obstacle ou moyen ?
  • Changer, est-ce devenir quelqu'un d'autre ?
  • Choisit-on de devenir celui que l'on est ?
  • Choisit-on d'être celui que l'on est ?
  • Comment savons-nous que nous ne rêvons pas ?
  • Dans quelle mesure le langage est-il un moyen de domination ?
  • De tout ce que je suis ou que je possède, que puis-je considérer comme véritablement à moi ?
  • Dire d'autrui qu'il est mon semblable, est-ce dire qu'il me ressemble ?
  • Doit-on apprendre à devenir soi-même ?
  • Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi ?
  • Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?
  • Être conscient, est-ce savoir ?
  • Faut-il être seul pour être soi-même ?
  • Faut-il prendre le risque de penser par soi-même ?
  • Faut-il s'identifier à autrui pour le comprendre ?
  • «Je est un autre»
  • La connaissance de soi peut-elle être sincère ?
  • La conscience de l’individu n’est-elle que le reflet de la société à laquelle il appartient ?
  • La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ?
  • La conscience de soi suppose-t-elle autrui ?
  • La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ?
  • La conscience immédiate est-elle connaissance de soi ?
  • La conscience ne s'exprime-t-elle que dans la négation ?
  • La conscience peut-elle nous tromper ?
  • La conscience suffit-elle à définir l'homme ?
  • L'amitié est-elle la forme privilégiée de la connaissance d'autrui ?
  • L'amitié est-elle la relation idéale à autrui ?
  • La perception peut-elle s’éduquer ?
  • La personne est-elle un objet ?
  • La présence d'autrui nous évite-t-elle la solitude ?
  • La question "qui suis-je" admet-elle une réponse exacte ?
  • La raison peut-elle nous servir de guide ?
  • L'avenir doit-il être objet de crainte ?
  • Le travail contribue-t-il à unir les hommes ou à les diviser ?
  • L'être humain peut-il perdre son humanité ?
  • L'homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ?
  • L'imagination est-elle nécessairement trompeuse ?
  • Mon existence est-elle la première chose dont je sois assuré ?
  • Penser, est-ce dire non ?
  • Peut-il exister des désirs naturels ?
  • Peut-on apprendre à se connaître ?
  • Peut-on connaître autrui ?
  • Peut-on être esclave de soi-même ?
  • Peut-on exister sans les autres ?
  • Peut-on ne pas être soi-même ?
  • Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
  • Peut-on penser par soi-même ?
  • Peut-on penser sans ce soucier de ce que pensent les autres ?
  • Peut-on penser sans son corps ?
  • Peut-on se connaître soi-même ?
  • Peut-on se mettre à la place d'autrui ?
  • Peut-on vaincre la peur de l'autre ?
  • Peut-on véritablement accéder à la connaissance de soi ?
  • Pourquoi chercher à se connaître soi-même ?
  • Pourquoi dit-on que l'homme est un animal culturel ?
  • Pourquoi refuse-t-on la conscience à l’animal ?
  • Pouvons-nous réellement faire confiance à notre conscience ?
  • Prendre conscience de soi, est ce devenir étranger à soi ?
  • Puis-je dire qui je suis ?
  • Puis-je faire confiance à ma conscience ?
  • Puis-je me connaître ?
  • Puis-je prendre conscience des illusions que je me fais sur moi ?
  • Que puis-je comprendre de moi ?
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  • Qu'est-ce qui fait l'identité de chacun d'entre nous ?
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  • Qui sont les autres ?
  • Sommes-nous condamnés à nous définir librement ?
  • Suis-je ce que j'ai conscience d'être ?
  • Suis-je le mieux placé pour me connaître moi-même ?
  • Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ?
  • Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ?
  • Toute prise de conscience est-elle libératrice ?
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  • Y a-t-il un devoir de prendre conscience ?
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  • L’inconscient permet-il autant que la conscience de définir l’Homme ?
  • Admettre l’hypothèse d’un inconscient psychique est-ce dénier à l’homme toute responsabilité ?
  • Comment comprendre l'expression «ne pas savoir ce que l'on fait» ?
  • La libération passe t-elle par le refus de l'inconscient ?
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  • La notion d'inconscient contredit-elle l'exigence morale ?
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  • L'existence d'un inconscient fait-elle obstacle à la connaissance de soi ?
  • L'hypothèse de l'inconscient est-elle incompatible avec l'idée de liberté humaine ?
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  • L'imagination n'est-elle qu'une mémoire qui ne se contrôle plus ?
  • L'inconscient est-il une excuse ?
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  • Sommes-nous libres de nos opinions ?
  • Tout désir est-il culturel ?
  • L’enfance est-elle ce qui doit être surmonté ?
  • L’historien ne peut-il examiner le passé qu’en fonction de son présent ?
  • L’Homme vit sans cesse sous la menace et dans la crainte d'une mort imminente
  • L’idée de premier homme a-t-elle un sens ?
  • À quoi reconnaît-on qu'un événement est historique ?
  • Avec le temps, tout s'en va ?
  • Comment se fait-il qu'en dépit du temps je demeure le même ?
  • Créer, est-ce conjurer la mort ?
  • En quoi la conscience du temps qui passe a-t-elle une incidence sur le sens de l'existence ?
  • Est-il possible d'échapper au temps ?
  • Est-il vrai que seul le présent existe ?
  • Faire table rase du passé
  • Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
  • Faut-il vivre avec son temps ?
  • Faut-il vivre comme si nous devions jamais mourir ?
  • L'action ne vise-t-elle que l'efficacité ?
  • La mémoire est-elle nécessaire à l'Histoire ?
  • La mémoire suffit-elle à l'historien ?
  • La recherche du bonheur conduit-elle à désirer vivre éternellement ?
  • L'avenir est-il une page blanche ?
  • L'écoulement du temps est-il pour nous source de désespoir ?
  • Le futur n'existe-t-il que dans notre pensée ?
  • Le passé peut-il revivre ?
  • Le premier Humain
  • Le rôle de l'historien est-il de juger ?
  • Les hommes savent-ils l'histoire qu'ils font ?
  • Le souci d'objectivité interdit-il à l'historien de porter des jugements ?
  • L'homme est-il prisonnier du temps ?
  • L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ?
  • Ne vit-on qu'au présent ?
  • «Nous avons été enfants avant que d'être hommes». Quelles conséquences ?
  • Peut-on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme ?
  • Peut-on dire que "l'histoire jugera" ?
  • Peut-on dire qu'il existe des sociètés civilisées et d'autres pas ?
  • Peut-on se libérer du passé ?
  • Peut-on vouloir être immortel ?
  • Pourquoi avons-nous intérêt à étudier l’histoire ?
  • Pourquoi s'intéresser à l'histoire ?
  • Puis-je juger la culture à laquelle j'appartiens ?
  • Que faut-il faire de la tradition ?
  • Que veut-on dire quand on définit l'homme comme un être historique ?
  • Suis-je ce que mon passé a fait de moi ?
  • A quoi sert la religion ?
  • Croire, est-ce renoncer à savoir ?
  • Doit-on considérer la religion comme l'ennemie de la raison ?
  • Entre croire et savoir, faut-il choisir ?
  • Est-ce faiblesse que de croire ?
  • Faut-il aimer son prochain ?
  • La foi religieuse exclut-elle tout recours à la raison ?
  • La peur gouverne t-elle nos croyances ?
  • La raison doit-elle combattre les croyances ?
  • La raison peut-elle remplacer la religion ?
  • La raison s'oppose t-elle à toutes formes de croyance ?
  • La religion et la liberté s’excluent-elles ?
  • La religion n'a-t-elle de fonction que sociale ?
  • La religion n'est-elle qu'une consolation infantilisante ?
  • La religion nourrit-elle l’amour ?
  • La religion peut-elle n'être qu'une affaire privée ?
  • La religion rassemble-t-elle ou divise-t-elle les hommes ?
  • La science est-elle incompatible avec la religion ?
  • Le savoir s'établit-il contre la croyance ?
  • L'homme peut-il se passer de religion ?
  • L'humanité peut-elle se concevoir sans religion ?
  • Nos convictions morales sont-elles fondées sur l’expérience ?
  • Peut-on affirmer que ne croire en rien est un progrès pour l'Homme ?
  • Peut-on combattre la croyance par le raisonnement ?
  • Peut-on considérer la religion comme une aliénation ?
  • Peut-on justifier l’athéisme ?
  • Pouvons-nous toujours justifier nos croyances ?
  • « Prophète de malheur ! »
  • Qu'est-il raisonnable de croire ?
  • Sommes-nous responsables de nos croyances ?
  • Tout croyance est-elle irrationnelle ?
  • Toute croyance est-elle contraire à la raison ?
  • Toute expression religieuse doit-elle être rejetée de la vie publique ?
  • Une société peut-elle se passer de religion ?
  • A quelles conditions une activité est-elle un travail ?
  • A-t-on toujours intérêt à travailler ?
  • Ce que l'homme accomplit par son travail peut-il se retourner contre lui ?
  • Doit-on opposer le travail au loisir ?
  • Est-ce la nécessité qui pousse l'homme à travailler ?
  • Faut-il craindre les machines ?
  • Faut-il redouter les machines ?
  • Faut-il renoncer à faire du travail une valeur ?
  • Gagne t-on sa vie en travaillant ?
  • La dignité humaine dépend-elle d'un travail ?
  • Le travail dénature t-il l'homme ?
  • Le travail divise t-il les hommes ?
  • Le travail est-ce la santé ?
  • Le travail est-il libérateur ?
  • Le travail n'est-il qu'une contrainte ?
  • Le travail permet-il de prendre conscience de soi ?
  • L'homme doit-il travailler pour être humain ?
  • L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ?
  • Peut-on affranchir le travailleur de toute servitude ?
  • Peut-on se contenter de travailler pour vivre ?
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  • Travailler, est-ce seulement être utile ?
  • Travailler moins, est-ce vivre mieux ?
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  • Est-il raisonnable de critiquer le progrès technique ?
  • Est-il souhaitable de réaliser tout ce qui est techniquement possible ?
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  • La technique est-elle une menace pour l'humanité ?
  • La technique ne sert-elle qu'à nous rendre maître de la nature ?
  • La technique n'est-elle pour l'homme qu'un moyen ?
  • La technique peut-elle maîtriser la nature ?
  • La technique peut-elle transformer la morale ?
  • La valeur d'une civilisation est-elle fonction de son développement technique ?
  • Le développement de la technique obéit-il a une fatalité ?
  • Le développement technique peut-il être un facteur d'esclavage ?
  • Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
  • Le progrès technique rend-il l'être humain plus heureux ?
  • Les objets techniques imposent-ils une façon de penser ?
  • Peut-on s'opposer au progrès technique ?
  • L’expérience partagée est-elle forcément la fin de l’expérience personnelle ?
  • En apprenant sa langue maternelle n'apprend-on qu'à parler ?
  • Est-il dans la nature de la parole d’être à la fois véridique et mensongère ?
  • Est-il sage de peu parler ?
  • La langue universelle est-elle réalisable ?
  • La parole est-elle le meilleur moyen d'échanger des idées ?
  • La pluralité des cultures est-elle un obstacle à l'unité du genre humain ?
  • La rhétorique est-elle utile ?
  • Le langage est-il ce qui nous rapproche ou ce qui nous sépare ?
  • Le langage est-il le propre de l'homme ?
  • Le langage est-il objet de science ?
  • Le langage n'est-il qu'un instrument ?
  • Le langage n’est-il qu’un outil ?
  • Le langage n’est-il qu’un outil de la pensée ?
  • Le langage nous trahit-il ?
  • Le langage rapproche-t-il les hommes ?
  • Le langage sert-il à exprimer la réalité ?
  • Le langage sert-il à parler ou bien à penser ?
  • Le langage trahit-il la pensée ?
  • Le sens de ce que l’on dit se réduit-il à ce que l’on veut dire ?
  • Les mots cachent-ils les choses ?
  • Les mots nous éloignent-ils des choses ?
  • Parler est-ce le contraire d'agir ?
  • Peut-on communiquer nos sentiments et passions ?
  • Peut-on juger objectivement la valeur d'une culture ?
  • Peut-on parler de langage animal ?
  • Peut-on penser qu'une parole puisse être dénuée de sens ?
  • Peut-on tout dire ?
  • Pourquoi écrit-on ?
  • Pourquoi parle-t-on ?
  • Pouvons-nous dire ce que nous voulons dire ?
  • Que peut le langage ?
  • Recourir au langage, est-ce renoncer à la violence ?
  • Serait-il souhaitable que l'humanité parle une seule langue ?
  • Suffit-il de communiquer pour dialoguer ?
  • Tout dialogue doit-il aboutir à un accord ?
  • Toute discussion doit-elle déboucher sur un accord ?
  • L’activité artistique peut-elle ne pas viser la beauté ?
  • L’artiste donne-t-il quelque chose à comprendre ?
  • L’art n’obéit-il à aucune règle ?
  • L’art peut-il se passer d’une maîtrise technique ?
  • L’art transforme-t-il notre conscience du réel ?
  • Défendez l'hypothèse selon laquelle l'art est un besoin et non un luxe
  • A quoi sert la culture ?
  • Art et Philosophie
  • Des artistes, pour quoi faire ?
  • Est-ce faire honneur à la Beauté que de la traiter comme un symbole ?
  • Est-ce le regard du spectateur qui fait l'oeuvre d'art ?
  • Est-ce un devoir pour l’homme d’être cultivé ?
  • Faut-il être connaisseur pour apprécier une oeuvre d'art ?
  • Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d'art ?
  • La beauté n’est-elle qu’apparence ?
  • La culture dénature-t-elle l'homme ?
  • La culture fait-elle l’homme ?
  • La culture nous permet-elle d'échapper à la barbarie ?
  • La culture nous rend-elle plus humains ?
  • L'art a t-il pour seule fonction de nous plonger dans l'imaginaire ?
  • L'art est-il moins nécessaire que la science ?
  • L'art fait-il réfléchir ou fait-il rêver ?
  • L'artiste doit-il chercher à rendre compte de la réalité ?
  • L'artiste est-il maître de son œuvre ?
  • L'art modifie-t-il notre rapport à la réalité ?
  • L'art peut il se passer de règles ?
  • Le plaisir est-il l'origine et la fin de l'art ?
  • Les artistes nous aident-ils à être libres ?
  • Les artistes sont-ils utiles ?
  • Les œuvres d'art éduquent-elles notre perception ?
  • L'expérience de la beauté passe-t-elle nécessairement par l'oeuvre d'art ?
  • L'imagination est-elle créatrice ?
  • L'oeuvre d'art manifeste-t-elle un absolu ?
  • Peut-on apprendre à devenir artiste ?
  • Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ?
  • Peut-on convaincre quelqu'un de la beauté d'une oeuvre d'art ?
  • Peut-on dire que l'objet ordinaire diffère de l'œuvre d’art ?
  • Peut-on reprocher à une œuvre d’art de ne rien valoir ?
  • Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ?
  • Pourquoi sommes-nous sensibles à la beauté ?
  • Qu'est-ce que la valeur d'une oeuvre d'art ?
  • Reconnaît-on l'artiste à son savoir-faire ?
  • Un artiste doit-il être original ?
  • Une oeuvre d'art a-t-elle quelque chose à nous apprendre ?
  • Une œuvre d’art a-t-elle toujours un sens ?
  • Une œuvre d’art est-elle nécessairement belle ?

La connaissance

  • A quoi reconnaît-on une fausse science ?
  • A quoi sert l'esprit critique ?
  • A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ?
  • Avons-nous le devoir de chercher la vérité ?
  • Chercher la vérité, est-ce prendre un risque ?
  • Comment peut-on savoir que l'on dit vrai ?
  • De quelle vérité l'opinion est-elle capable ?
  • Devons-nous nous méfier de nos certitudes ?
  • Doit-on toujours dire la vérité ?
  • Doit-on tout soumettre à la raison ?
  • Douter, est-ce renoncer à la vérité?
  • Est-il vrai que toutes les opinions se valent ?
  • Existe-t-il pour l'homme des questions sans réponse ?
  • Faut-il craindre la vérité ?
  • Faut-il philosopher pour bien vivre ?
  • Faut-il préférer le bonheur à la vérité ?
  • Faut-il se questionner pour vivre ?
  • Faut-il toujours dire la vérité, toute la vérité ?
  • Interprète-t-on à défaut de connaître ?
  • La conviction d’avoir raison est-elle un obstacle au dialogue ?
  • La nature des choses
  • La passion de la vérité conduit-elle au fanatisme ?
  • La philosophie est-elle un luxe théorique ?
  • La philosophie est-elle utile ?
  • La philosophie nous détache-t-elle du monde ?
  • La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ?
  • La réflexion philosophique doit-elle et peut-elle être utile ?
  • La réflexion philosophique nous détache-t-elle du monde ?
  • La vérité est-elle soumise au temps ?
  • La vérité relève-t-elle de ce qui est démontrable ?
  • Le doute est-il toujours l'ennemi de la connaissance ?
  • Le doute est-il une force ou une faiblesse ?
  • Le rationnel et l'irrationnel
  • Les apparences sont elles toujours trompeuses ?
  • Les faits parlent-ils d'eux-mêmes ?
  • Le vrai est-il toujours vraisemblable ?
  • L'exercice du doute est-il le monopole du philosophe ?
  • L'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
  • L'imagination est-elle ennemie de la vérité ?
  • L'opinion a-t-elle toujours tort ?
  • Peut-il y avoir des vérités partielles ?
  • Peut-on avoir raison contre les autres ?
  • Peut-on dire "à chacun sa vérité" ?
  • Peut-on dire: "C'est vrai, j'en suis certain !" ?
  • Peut-on dire que la perception est une connaissance ?
  • Peut-on dire que toutes les opinions se valent ?
  • Peut-on distinguer l'illusion de l'erreur ?
  • Peut-on douter de tout ?
  • Peut-on en finir avec les préjugés ?
  • Peut-on être indifférent à la vérité ?
  • Peut-on imposer la vérité ?
  • Peut-on juger les opinions ?
  • Peut-on ne pas vouloir la vérité ?
  • Peut-on parvenir à d'authentiques certitudes ?
  • Peut-on penser sans préjugés ?
  • Peut-on répondre philosophiquement à une question en donnant son opinion ?
  • Peut-on se mentir à soi-même ?
  • Peut-on se passionner pour la vérité ?
  • Peut-on tout justifier ?
  • Peut-on vivre sans se poser de questions ?
  • Pour bien penser faut-il ne rien aimer ?
  • Pourquoi avons-nous du mal à reconnaître la vérité ?
  • Pourquoi des philosophes ?
  • Pourquoi faisons-nous de la philosophie ?
  • Quels sont les critères du réel ?
  • Que signifie faire appel à son esprit critique ?
  • Que vaut une preuve contre un préjugé ?
  • Toutes les opinions sont-elles respectables ?
  • Tout est-il interprétable ?
  • Toute vérité est-elle nécessairement rationnelle ?
  • Toute vérité est-elle relative ?
  • Tout vérité doit-elle être prouvée ?
  • Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
  • Un Homme libre doit-il refuser toute censure ?
  • Y a-t-il de bons préjugés ?
  • Y a-t-il des problèmes philosophiques dépassés ?
  • Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
  • Y a-t-il des vérités premières ?
  • L’homme peut-il apprendre à penser ?
  • Définir la logique comme l'art de penser, est-ce appauvrir la pensée ?
  • Est-il raisonnable d'aimer ?
  • Etre raisonnable est-ce renoncer à ses désirs ?
  • Faut-il démontrer pour savoir ?
  • La raison permet-elle de mettre les hommes d'accord ?
  • La raison peut-elle rendre raison de tout ?
  • Le doute est-il un échec de la raison ?
  • Le sommeil de la raison engendre-t-il des monstres ?
  • L'opinion peut-elle nous apporter un savoir ?
  • Peut-il y avoir un mauvais usage de la raison ?
  • Peut-on avoir raison contre les faits ?
  • Peut-on justifier une opinion ?
  • Peut-on se fier à la raison ?
  • Qu'est-ce qu'un fait ?
  • Sagesse et folie sont-elles réellement incompatibles ?
  • Suffit-il d'avoir raison pour convaincre ?
  • Suffit-il de démontrer pour convaincre ?
  • Y a-t-il une différence entre penser et avoir des opinions ?
  • L’expérience n’est-elle qu’empirique ?
  • Apprendre est-ce seulement s'informer ?
  • À quoi servent les sciences ?
  • Comment les notions mathématiques dépendant de l'esprit peuvent-elles expliquer un réel qui n'en dépend pas ?
  • D'où vient la force des préjugés ?
  • En quoi consiste l'objectivité scientifique ?
  • Est-ce le recours à l'expérience qui garantit le caractère scientifique d'une théorie ?
  • Est-ce leur confirmation expérimentale qui fait le succès des sciences humaines ?
  • Faut-il croire pour savoir ?
  • La connaissance de soi comporte-t-elle des obstacles ?
  • La philosophie a-t-elle encore une place dans un monde surtout dominé par la science ?
  • La science découvre-t-elle ou construit-elle ses objets ?
  • La science et la technique nous autorisent-elles à considérer notre civilisation comme supérieure aux autres ?
  • La science ne fournit-elle que des certitudes ?
  • La science se limite-t-elle à constater les faits ?
  • Le progrès est-il un mythe ?
  • Le savoir abolit-il toute croyance ?
  • Les connaissances scientifiques peuvent-elles servir à lutter contre le fanatisme ?
  • Les connaissances scientifiques proviennent-elles de l'expérience sensible ?
  • Les sciences de l’homme nous aident-elles à devenir plus humain ?
  • Les sciences de l'homme suffisent-elles à connaître l'homme ?
  • Les sciences humaines pensent-elles l'homme comme un être prévisible ?
  • Les sens ne sont-ils pas suffisants à nous fournir toutes nos connaissances ?
  • Les théories scientifiques décrivent-elles la réalité ?
  • L'expérience est-elle la seule source de vérité ?
  • L'expérience instruit-elle ?
  • L'usage de la raison est-il une garantie contre l'illusion ?
  • Peut-on contredire l'expérience ?
  • Peut-on dire du doute qu'il est utile à la connaissance et nuisible à l'action ?
  • Peut-on fonder la connaissance sur l'expérience sensible ?
  • Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?
  • Pourquoi les hommes s’efforcent-ils de connaître ?
  • Pourquoi nous trompons-nous ?
  • Pourquoi vouloir la science ?
  • Puis-je faire confiance à mes sens ?
  • Science et technique sont-elles toujours légitimes ?
  • Suffit-il d’observer pour connaître ?
  • Une théorie scientifique peut-elle être confirmée ou infirmée par les faits ?
  • Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique ?
  • Y a-t-il un intermédiaire entre savoir et ignorer ?
  • L’idée d’un retour à la nature a-t-elle un sens ?
  • Ce qui est naturel a-t-il nécessairement une valeur ?
  • Comment les sciences humaines questionnent-elles la notion d'inhumain ?
  • Doit-on le respect au vivant ?
  • Faut-il, pour le connaître, faire du vivant un objet ?
  • Faut-il se méfier de l'idée de nature humaine ?
  • La mort se vit-elle comme un ordre ou un désordre ?
  • La nature fait-elle bien les choses ?
  • Les hommes sont-ils méchants par nature ?
  • L'homme est-il un animal dénaturé ?
  • L'homme moderne s'est-il trop éloigné de la nature ?
  • L'homme n'est-il qu'un être naturel ?
  • N'y a-t-il de violence que pour l'homme ?
  • Peut-on avoir peur de la nature ?
  • Peut-on dire que la nature est bonne ?
  • Peut-on distinguer en l’homme ce qu’il y a de naturel et ce qu’il y a de culturel ?
  • Peut-on expliquer le comportement d'un homme en disant "c'est naturel" ?
  • Peut-on reconnaître à l'homme une place particulière dans la nature ?
  • Que serait le monde sans les hommes ?
  • Que signifie l'expression "retour à la nature" ?
  • Que veut-on dire en parlant de la loi de la Nature ?
  • Respecter tout être vivant, est-ce un devoir moral ?
  • Une machine tombe en panne, une personne tombe malade, ces deux évènements sont-ils de même nature ?
  • Vouloir retourner à une vie naturelle a-t-il un sens pour l'homme ?
  • Y a-t-il du désordre dans la nature ?

La morale et la politique

  • Dépend-il de nous d'être heureux ?
  • Désirer est-ce nécessairement souffrir ?
  • Accomplir tous ses désirs est-ce une bonne règle de vie ?
  • Doit-on tout faire pour être heureux ?
  • Est-il absurde de désirer l'impossible ?
  • Est-il légitime de rechercher son bonheur ?
  • Être heureux, est-ce chercher à satisfaire tous ses désirs ?
  • Faut-il avoir peur de ses désirs ?
  • Faut-il changer ses désirs ou l’ordre du monde ?
  • Faut-il choisir entre la vertu et le bonheur ?
  • Faut-il condamner l’amour de soi ?
  • Faut-il lutter contre ses désirs ?
  • Faut-il renoncer aux désirs pour être heureux ?
  • Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ?
  • Faut-il satisfaire tous ses désirs ?
  • Faut-il se méfier de l'amour ?
  • Faut-il toujours préférer la lucidité à la naïveté ?
  • Faut-il vaincre ses désirs plutôt que l'ordre du monde ?
  • Faut-il vivre comme si chaque jour devait être le dernier ?
  • Inventer de la nécessité, n'est-ce pas le plus beau des programmes ?
  • La passion est-elle une erreur ?
  • La passion est-elle une excuse ?
  • La passion nous éloigne-t-elle de la réalité ?
  • La politique divise-t-elle ou rassemble-t-elle ?
  • La pulsion instinctive est-elle plus naturelle que le comportement rationnel ?
  • La raison conduit-elle toujours au bonheur ?
  • La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ?
  • La recherche du bonheur est-elle une illusion ?
  • La recherche du bonheur s'oppose-t-elle à la liberté ?
  • La société est-elle un obstacle au bonheur ?
  • Le bonheur dépend-il de nous ?
  • Le bonheur, est-ce renoncer à ses désirs ?
  • Le bonheur est-il le bien suprême ?
  • Le bonheur est-il une affaire de chance ?
  • Le bonheur est-il une affaire privée ?
  • Le bonheur est-il une illusion ?
  • Le bonheur sans illusion est-il concevable ?
  • Le bonheur s'apprend-il ?
  • Le bonheur se mérite-t-il ?
  • Le désir connaît-il préalablement son sujet ?
  • Le désir d'être heureux est-il une illusion ?
  • Le désir est-il la marque de la misère de l'homme ?
  • Le désir est­‐il la marque de notre impuissance ?
  • Le désir est-il par nature illimité ?
  • Le désir fait-il le malheur de l'Homme ?
  • Le désir fait-il nécessairement souffrir ?
  • Le désir nous condamne t-il au malheur ?
  • Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ?
  • Les hommes ne désirent-ils que ce dont ils ont besoin ?
  • L'homme, être de désir
  • L'homme se reconnaît-il dans les passions ou dans leur maîtrise ?
  • L'usage de la raison fournit-il la seule garantie possible de notre bonheur ?
  • Ne désirons-nous que ce dont nous avons besoin ?
  • Peut-on être heureux dans l'illusion ?
  • Peut-on faire le bonheur des autres ?
  • Peut-on opposer besoin et désir ?
  • Peut-on réduire le désir au manque ?
  • Peut-on vouloir le bonheur des autres ?
  • Peut-on vouloir le mal ?
  • « Philosopher, c'est apprendre à mourir »
  • Philosopher est-ce se compliquer la vie pour rien ?
  • Pour être soi-même, vaut-il mieux suivre ses désirs ou les combattre ?
  • Pourquoi désirer l'impossible ?
  • Pourquoi l'optimiste est-il dit incorrigible ?
  • Pouvons-nous bien vivre sans passion ?
  • Puis-je être heureux sans autrui ?
  • Qu'attend-on pour être heureux ?
  • Qu'est-ce qu'une vie ratée ?
  • Qu'est ce qu'un homme seul ?
  • Que veut dire : « Se rendre maître de ses passions ? »
  • Réaliser tous ses désirs, est-ce une règle de vie ?
  • Sans autrui, y aurait-il des passions ?
  • Savons-nous toujours ce que nous désirons ?
  • Sommes-nous responsables de nos désirs ?
  • Un désir peut-il être coupable ?
  • Une action désintéressée est-elle possible ?
  • Une passion sans illusion est-elle possible ?
  • Une vie bien remplie est-elle une vie bien vécue ?
  • Une vie heureuse est-elle une vie de plaisir ?
  • Un problème moral peut-il recevoir une solution certaine ?
  • Vaut-il mieux "changer ses désirs que l'ordre du monde" ?
  • Vivons-nous pour être heureux ?
  • Vivre l'instant présent, est-ce une règle de vie satisfaisante ?
  • Y a-t-il un plaisir à désirer ?
  • L’obéissance est-elle toujours une entrave à la liberté ?
  • Autrui est il condition ou limite à ma liberté ?
  • Autrui est-il une condition ou un obstacle à ma liberté ?
  • Dire non, cela suffit-il à être libre ?
  • Doit-on apprendre à être libre ?
  • Est-il nécessaire de vouloir toujours plus de libertés ?
  • Est-on d'autant plus libre qu'on a des raisons d'agir comme on le fait ?
  • Est-on d’autant plus libre qu’on est conscient ?
  • Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
  • Etre libre est-ce ne renconter aucun obstacle ?
  • Être libre, est-ce nier les déterminismes ?
  • Etre libre est-ce pouvoir choisir ?
  • Faut-il choisir entre être heureux ou être libre ?
  • Faut-il préférer la liberté au bonheur ?
  • Faut-il préférer la révolte à la résignation ?
  • La liberté comporte-t-elle des degrés ?
  • La liberté connaît-elle des limites ?
  • La liberté consiste-t-elle à faire ce que l'on veut ?
  • La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?
  • La liberté d’expression doit-elle être limitée ?
  • La liberté d'expression peut-elle être sans limites ?
  • La liberté est-ce seulement l'indépendance ?
  • La liberté est-elle compatible avec le déterminisme ?
  • La liberté est-elle menacée par l'égalité ?
  • La liberté est-elle possible sans courage ?
  • La liberté est-elle source d'obstacles ?
  • La liberté est-elle une donnée ou une conquête ?
  • La liberté est-elle une illusion ?
  • La liberté est-elle une illusion de la conscience ?
  • La liberté est-elle un fardeau ?
  • La liberté n'est-elle qu'une illusion ?
  • La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ?
  • Le domaine de la liberté commence-t-il là où s'arrête la liberté ?
  • Le droit à la bêtise ?
  • L'homme est-il libre ?
  • L'homme peut-il disposer de sa vie comme il l'entend ?
  • L'homme peut-il être inhumain ?
  • L'indépendance suffit-elle à définir la liberté ?
  • L'obéissance est-elle incompatible avec la liberté ?
  • L'usage de notre raison nous rend-il libre ?
  • Ma liberté est-elle entravée par la liberté ou par l'esclavage d'autrui ?
  • Ma liberté s'arrête-t-elle où commence celle d'autrui ?
  • Naît-on libre ou le devient-on ?
  • Obéir est-ce renoncer à sa liberté ?
  • Obéir est-ce renoncer à sa liberté de penser ?
  • Penser par soi seul, est-ce penser librement ?
  • Peut-on à la fois obéir et être libre ?
  • Peut-on apprendre à être libre ?
  • Peut-on avoir peur d'être libre ?
  • Peut-on choisir d'être celui que l'on est ?
  • Peut-on concilier désir et liberté ?
  • Peut-on dire « à chacun sa morale » ?
  • Peut-on être heureux sans être libre ?
  • Peut-on être libre sans exercer sa citoyenneté ?
  • Peut-on être sans le savoir ?
  • Peut-on forcer quelqu'un à être libre ?
  • Peut-on obéir aux lois sans renoncer à sa liberté ?
  • Peut-on prouver la liberté ?
  • Peut-on rire de tout ?
  • Peut-on se libérer de sa culture ?
  • Que recherche t-on en réclamant toujours plus de liberté ?
  • Se sentir obligé, est-ce renoncer à sa liberté ?
  • Suffit-il d'avoir le choix pour être libre ?
  • Suis-je libre quand je fais mon devoir ?
  • Toute critique des opinions d’autrui est-elle nécessairement intolérante ?
  • Une action peut-elle être à la fois immorale et libre ?
  • Un homme sans passé peut-il être un homme libre ?
  • Vivre en société, est-ce vivre libre ?
  • L’attrait pour le luxe est-il un mal ?
  • Avons-nous le devoir de faire le bonheur des autres ?
  • De quoi suis-je responsable ?
  • Doit-on respecter la nature ?
  • Est-ce un devoir de rechercher le bonheur ?
  • Faut-il rester fidèle ?
  • La morale a-t-elle un rôle à jouer dans les sciences ?
  • La morale est-elle la meilleure des politiques ?
  • La moralité consiste-t-elle à se contraindre soi-même ?
  • La notion d'obligation est-elle indispensable à la morale ?
  • La tolérance est-elle un vice ou une vertu ?
  • La transgression et le mal
  • Les passions nous empêchent-elles de faire notre devoir ?
  • Les valeurs morales sont-elles relatives ?
  • « Nul n’est méchant volontairement »
  • Peut-on dire: «Tu dois donc tu peux ? »
  • Peut-on obéir librement ?
  • Peut-on s'affranchir de la conscience morale ?
  • Pour bien agir, doit-on savoir ce qu'est le bien ?
  • Punir est-il un devoir ?
  • Qu'avons-nous à gagner à faire notre devoir ?
  • Se doit-on quelque chose ?
  • Suffit-il de faire son devoir ?
  • L’autorité de l’état suppose-t-elle la soumission de l’individu ?
  • Ce qui divise les hommes peut-il être en même temps ce qui les rapproche ?
  • Comment expliquer la violence ?
  • Dans quelles conditions peut-on désobéir aux lois de l'Etat ?
  • En quel sens peut-on dire que l’homme est un animal politique ?
  • En quoi l'homme est-il un animal raisonnable ?
  • La guerre est-elle le pire des maux ?
  • La politique échappe-t-elle à l’exigence de vérité ?
  • La politique n'est-elle pas l'exercice de la virtuosité plutôt que celui de la souveraineté ?
  • La politique répond-elle à nos besoins ?
  • Le bonheur est-il l'affaire de l'Etat ?
  • Le peuple peut-il être souverain ?
  • Les échanges contribuent-ils à la cohésion sociale des hommes ?
  • Les échanges unissent-ils les hommes ?
  • Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
  • Les hommes ont-ils besoin d'être gouvernés ?
  • Les hommes sont-ils violents par nature ou à cause de la vie sociale ?
  • Les rapports avec les autres sont-ils nécessairement de l'ordre du conflit ?
  • L'Etat est-il l'ennemi de la liberté ?
  • L'Etat est-il l'ennemi de l'individu ?
  • L'Etat est-il une institution naturelle ?
  • L'Etat et la religion sont-ils compatibles ?
  • L'homme est-il fait pour vivre en société ?
  • L'opinion peut-elle être le guide du pouvoir politique ?
  • L'usage de la raison permet-il d'éviter la violence ?
  • Nos rapports sociaux sont-ils naturels ?
  • Peut-il être juste de désobéir aux lois ?
  • Peut-on agir moralement sans s'intéresser à la politique ?
  • Peut-on critiquer la démocratie ?
  • Peut-on penser une société sans Etat ?
  • Peut-on séparer la morale et la politique ?
  • Pourquoi échange-t-on ?
  • Que devons-nous à l’État ?
  • Que gagne-t-on à échanger ?
  • Quelle est la fonction première de l'État ?
  • Serions-nous plus libres sans État ?
  • Tout pouvoir est-il nécessairement répressif ?
  • Une société juste est-ce une société sans conflit ?
  • Défendre ses droits, est-ce défendre ses intérêts ?
  • A quelles conditions la loi peut-elle garantir la justice ?
  • Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
  • Combattre l'injustice, n'est-ce pas respecter le droit ?
  • Du droit ou de la force, lequel est un moyen pour l'autre ?
  • Est-ce la même chose de faire respecter le droit par la force que de fonder le droit sur la force ?
  • Est-il juste de posséder ?
  • Être juste, est-ce traiter tout le monde de la même façon ?
  • Existe-t-il un droit à la révolte ?
  • La justice se confond-elle avec la stricte égalité ?
  • La justice sociale est-elle une utopie ?
  • La justice suppose-t-elle l'égalité ?
  • La liberté sans la justice est-elle une véritable contradiction ?
  • La loi n’est-elle qu’une contrainte ?
  • Le droit n'est-il que le produit de l'histoire ?
  • Le droit peut-il se passer de la force ?
  • Le juste et l'injuste ne sont-ils que des conventions ?
  • Le pardon et l’autre
  • Les lois s'opposent-elles toujours à la liberté ?
  • Peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ?
  • Peut-on fonder le droit de punir ?
  • Peut-on tout pardonner ?
  • Pour être juste, suffit-il d’obéir aux lois ?
  • Pourquoi les hommes se donnent-ils des lois ?
  • Puis-je, au nom de ma conscience, refuser de me soumettre aux lois ?
  • Qu'est-ce que la justice ?
  • Qu’est-ce qu’une loi injuste ?
  • Si le droit est relatif au lieu et au temps, faut-il renoncer à l'idée d'une justice universelle ?
  • Suffit-il de se conformer aux lois pour être juste ?
  • Tout ce que j’ai le droit de faire est-il juste ?
  • Tout comprendre, est-ce tout excuser ?
  • Tout comprendre est-ce tout pardonner ?
  • Une loi peut-elle être injuste ?
  • Une société juste peut-elle s’accommoder d’inégalités ?
  • Y a-t-il de justes inégalités ?
  • Y a-t-il des êtres inhumains ?
  • Y a-t-il des guerres justes ?
  • Y a-t-il un droit du plus fort ?
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Atelier philosophique : « Faut-il avoir peur de la mort ? »

  • Les Jeunes philosophent

sujet dissertation philo mort

Un Atelier philosophique présenté par Edwige Chirouter, philosophe. Avec le podcast audio Nadine et Robert les poissons rouges , « Une histoire et… Oli »,   France Inter.

Avec le podcast audio Nadine et Robert les poissons rouges , « Une histoire et… Oli »,   France Inter Dans le cadre des Journées « Les Jeunes philosophent » : LE TEMPS, Mai 2020

Philosophons avec nos enfants !

Plus que jamais, prenons le temps de philosopher avec les enfants, offrons-leur des oasis de pensée pour répondre à toutes les questions qu’ils se posent inévitablement en ce temps de crises. Lire, écouter, raconter des histoires permet d’aborder avec délicatesse, poésie et humour des thématiques parfois angoissantes, même pour les adultes. Elles sont une excellente médiation pour philosopher avec les enfants : que ce soit pour les parents ou les enseignants discuter à partir d’une histoire permet de mettre un peu de distance pour penser sans être envahis par les émotions. La littérature permet ainsi d’approfondir la réflexion, de sortir de l’anecdote et de prendre du recul pour penser de façon plus sereine. Les histoires nous amusent, nous divertissent, nous font voyager, mais elles nous aident aussi et surtout à grandir et à mieux donner sens aux mondes.

Quelques pistes philosophiques pour en discuter avec les enfants

La mort est sûrement la première des questions. Première parce qu’elle se pose très tôt, dès 3 ans, quand les enfants prennent conscience de son existence et de son caractère extrêmement sensible : pourquoi tant de tristesse, de gêne de la part des adultes à son évocation ? Première aussi parce que peut-être la question la plus essentielle puisqu’elle conditionne toutes les autres sur le sens de l’existence et de la condition humaine. Paradoxalement, dans nos sociétés occidentales contemporaines, la mort est à la fois partout et nulle part : partout même dans l’univers enfantin (dans les jeux, les films, l’actualité) et nulle part car elle reste un sujet tabous et abstrait. La crise du coronavirus nous a ainsi rappelé brutalement la fragilité de notre existence.

Mais la conscience de la mortalité est à la fois une tragédie et une chance pour les Hommes. Tragédie parce qu’elle génère l’angoisse fondamentale de disparaître et d’être séparé définitivement de ceux qu’on aime mais aussi une chance parce que c’est elle qui donne finalement toute sa saveur, toute sa valeur à notre existence. Si nous étions immortels, notre existence aurait-elle la même saveur ? Sûrement pas, car c’est la conscience de notre finitude qui nous pousse à faire des choix qui déterminent le sens de notre vie.

Le scandale de la mort est surtout en fait quand elle intervient trop tôt, quand on n’a pas eu le temps de se réaliser, d’avoir eu « une belle vie ». Ce qui est douloureux, c’est la perte d’un être cher, c’est le manque et l’absence. Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la mort est là, nous n’existons plus  » ( Lettre à Ménécée ).

Se poser la question de la mort, c’est aussi poser la question de l’après. Toutes les civilisations cherchent à comprendre et à se représenter ce qu’il y a après le grand passage et ont élaboré des croyances qui tendent de répondre à cette angoisse fondamentale. Mais la mort reste une énigme et les croyances relèvent de la sphère intime et personnelle. Ainsi quelques soient nos convictions sur l’existence ou non d’un Au-delà, nous avons besoin de ritualiser le départ des êtres chers et de nous en souvenir – comme le raconte très bien l’épisode de « Oli » Nadine et Robert les poissons rouges  : l’être disparu continue d’exister quelque part dans le souvenir et le cœur de ceux ou celles qui l’ont aimé.

Résumé de l’histoire

Nadine et Robert les poissons rouges par Delphine Le Vigan https://www.franceinter.fr/emissions/une-histoire-et-oli/nadine-et-robert-les-poissons-rouges :

« Un père emmène son fils enterrer l’un de ses poissons rouges qui vient de mourir. Mais dans Paris, la tâche ne se révèle pas si commode. Père et fils doivent ruser pour trouver une dernière demeure calme, agréable et même aquatique au petit poisson. »

Questions de relance pour discuter avec les enfants

– Qu’est-ce que ça veut dire « être mort » ? – Est-ce que c’est normal d’avoir du chagrin quand quelqu’un meurt ? – Pourquoi le petit garçon et son papa veulent absolument enterrer Nadine ? – Que penses-tu de la réaction du gardien ? – Est-ce que Nadine est vraiment partie en voyage ? – Qui a envoyé la carte postale à Robert ? – Qu’est-ce qui permet de rendre la mort moins triste ? – Peut-on savoir ce qu’il y a après la mort ? – Est-ce que ce serait bien d’être immortel ? Oui ? Non ? Pourquoi ?

D’autres lectures pour continuer la réflexion à l’école et à la maison

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Présentation élaborée avec Edwige Chirouter , philosophe, maitre de conférences HDR à l’Université de Nantes et membre du CREN (Centre de Recherche en Education de Nantes). Spécialiste de Jean-Jacques Rousseau et des liens entre philosophie et littérature, elle applique désormais ses recherches à la pratique de la philosophie avant la Terminale et à l’école primaire en particulier.  Elle est titulaire de la  Chaire UNESCO  – «  Pratiques de la philosophie avec les enfants : une base éducative pour le dialogue interculturel et la transformation sociale  » .

La série de podcasts audio « Une histoire et… Oli » est produite et diffusée par France Inter https://www.franceinter.fr/emissions/une-histoire-et-oli

Retrouvez les activités des Journées «  Les Jeunes philosophent  » sur le site des Rencontres Philosophiques de Monaco https://philomonaco.com/blog/

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Dissertation sur le thème de la mort

Résumé du document.

« La mort n'arrive qu'une fois, et se fait pourtant sentir à tous les moments de notre vie », écrivait La Bruyère. En effet, qu'elle soit crainte ou qu'elle subjugue, la mort occupe une place centrale au sein de nos préoccupations. Pour le biologiste, elle est l'état le plus stable du vivant. En tout cas, elle marque la fin de l'activité de notre corps, et par conséquent de notre vie terrestre (...)

[...] En revanche, on peut craindre la mort de Toi dans la mesure où elle affecte notre vie. Si pour une personne, la mort, dans la continuité de la vie, marque une fin, dans la relation de l'Un à l'Autre, elle est bien un événement qui a une réelle conséquence sur notre affectivité. Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts écrit Lamartine. Mais les ténèbres des morts refroidissent les vivants * * * La mort de l'autre a donc une influence sur ma vie. [...]

[...] Evidemment, la peur de l'inconnu se fait plus pressante, mais surtout, les derniers moments de la vie constituent le temps des bilans. C'est à la fin de sa vie que l'on peut décider si on l'a ratée, ou si on a accompli ce qu'on escomptait. Hugo, dans L'art d'être grand-père, propose les conseils d'un vieil homme dont le bilan permet une vision réfléchie appuyée sur sa vie qui constitue désormais son passé. Ce qui effraie, dans la mort, est donc certainement la crainte de ne pas s'être accompli avant qu'elle survienne. [...]

[...] La mort est le remède Là encore, la mort est perçue comme une fin. Et c'est d'ailleurs la seule certitude avérée que l'on en ait. * * * La mort est donc une fin, certes, mais le fait de le savoir ne me permet pas d'en parler avec précision. Même si durant toute ma vie, je pense à la mort, à ma mort, et l'appréhende, je ne peux en avoir aucune expérience concrète, aboutie (laissons de côté les jeux d'approche de la mort). [...]

[...] Mais fuir l'existence, c'est encore exister affirme Sartre. Enfin, Freud voit en l'orgasme une petite mort Mais si celui-ci amène à un état de repos abouti, il n'est pas assorti d'une perte étendue de la conscience, et ne peut donc pas être considéré comme un aperçu de ce qui nous attend. Si ma mort n'existe pas, ou plutôt ne peut être vécue, l'existence de la mort ne peut être niée. Mais la mort, c'est ce qui arrive aux autres affirme Paul Valéry. [...]

[...] Nombreuses sont donc les traditions et les croyances qui voient en la mort un renouveau rassurant. Mais dans tous ces exemples, ce reouveau est une supposition, un postulat qui n'est assuré que par la foi qu'on porte en lui. En revanche, nous sommes assurés que la mort marque la fin de quelque chose. Si elle n'assure pas de façon péremptoire l'arrêt de toute existence, il est néanmoins certain qu'elle implique la fin d'un cycle. Tout d'abord, la mort est évidemment la fin de toute activité cérébrale, corporelle, et finalement d'existence terrestre. [...]

  • Nombre de pages 3 pages
  • Langue français
  • Format .doc
  • Date de publication 11/02/2010
  • Consulté 7 fois
  • Date de mise à jour 11/02/2010

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Lauria, Federico (2019), «Mort (GP)», dans Maxime Kristanek (dir.), l'Encyclopédie philosophique , consulté le ..., https://encyclo-philo.fr/mort-gp

Publié en janvier 2019

La mort nous afflige, nous angoisse, voire nous terrifie. Qu’est-ce que la mort ? La tristesse et l’angoisse face à la mort sont-elles justifiées ? La mort est-elle un mal ? Vaudrait-il mieux être immortel ? Comment comprendre le deuil ? Cette entrée propose un aperçu des questions principales de la philosophie contemporaine de la mort. Tentons de sonder l’énigme la plus tragique de la vie.

Tôt ou tard, inexorablement, le glas sonnera et nous mourrons. L’idée de la mort nous trouble et soulève une vague de tristesse et d’angoisse. Cela explique probablement pourquoi nous tendons à éviter d’y penser au quotidien. Nombreux parmi nous souhaitent même vivre éternellement. Cette entrée propose de plonger dans les mystères de la mort en présentant les questions majeures de la philosophie contemporaine de la mort. Qu’est-ce que la mort ? Pourquoi nous bouleverse-t-elle autant ? Est-il raisonnable de s’en affliger et de la craindre ? Vaudrait-il mieux être immortel ? Qu’est-ce que le deuil ? Brisons le tabou le plus énigmatique de nos vies.

Dans l’histoire de la philosophie, les réflexions philosophiques sur la mort furent longtemps influencées par la conception de l’âme. Selon la conception traditionnelle remontant au moins à Platon et à diverses traditions judéo-chrétiennes ou orientales, la mort marque la séparation de l’âme et du corps. Au moment de la mort, seul notre corps meurt, notre âme étant immortelle. Diverses eschatologies ou descriptions de l’au-delà décrivent ce qu’il adviendra alors de notre âme après notre mort. Suite au scepticisme concernant l’immortalité de l’âme, les philosophes se sont penchés davantage sur la question de l’impact de la mort sur notre existence. La mort rend-elle notre existence absurde (une idée souvent attribuée à Albert Camus) ? Au contraire, la conscience de notre mortalité constitue-t-elle le lieu d’une existence authentique, tel que le suggérait Martin Heidegger ? Cette entrée se concentre sur la littérature contemporaine. Afin de distinguer les problèmes philosophiques de questions théologiques, la discussion actuelle présuppose majoritairement qu’il n’y a pas de vie après la mort, contrairement à la tradition susmentionnée. Le débat se cristallise autour de quatre questions majeures (Bradley, Feldman & Johansson 2013; Luper 2014; Fischer 1993):

1. Qu’est-ce que la mort ?2. Notre désarroi face à la mort est-il justifié ?3. L’immortalité est-elle désirable ?4. Comment faire sens du deuil ?

Offrons un bref aperçu de chaque question.

1. Qu’est-ce que la mort ?

Délimiter la mort de la vie est primordial pour des raisons médicales et juridiques. Ainsi, il existe divers critères de la mort : la mort cérébrale, cardiaque, respiratoire, etc. Un critère de la mort est une manifestation de la mort et sert principalement une fonction pratique. La question de la définition de la mort diffère de l’établissement des critères de celle-ci. Une définition de la mort vise à cerner l’ essenc e de la mort (non seulement ses manifestations) et est censée s’appliquer à la mort sous toutes ses formes. Par exemple, le critère de la mort cérébrale est une condition suffisante pour qualifier un être de mort : lorsque le cerveau ne fonctionne plus, l’animal est considéré comme mort. Toutefois, ce critère ne couvre pas la mort des plantes. N’étant pas une condition nécessaire de la mort, il ne peut capturer son essence. Critères mis à part, qu’est-ce que la mort exactement ?

Il est naturel de penser que la mort marque la fin de notre existence. Toutefois, cette définition est discutable. En un sens, nous existerons toujours une fois mort, du moins pour un certain temps : nous existerons sous la forme d’un cadavre (Feldman 1992) ! Il est donc plus exact de définir la mort comme la fin (permanente) de la vie. Après notre mort, nous ne vivrons plus.

Aussi intuitive soit-elle, cette définition est elle aussi problématique (Feldman 1992). En effet, à l’instar des trois exemples suivants, il semble que certaines créatures cessent de vivre sans être mortes pour autant.

  • La cryopréservation est une technique consistant à conserver des cellules ou tissus (des embryons, par exemple) en les refroidissant à de très basses températures. Ces êtres sont pour ainsi dire gelés. Une fois cryopréservés, ils ne sont pas vivants, étant donné les températures glaciales. Cependant, ils retrouvent la vie lorsque la température augmente. Imaginez à présent que l’on cryopréserve Mario, mais qu’on l’oublie à jamais dans sa capsule. Mario ne vivra plus jamais, puisque nous n’augmenterons jamais la température de sa capsule. Selon la définition classique, Mario est mort. Or, cela est contre-intuitif. Il n’est pas mort, il hiberne pour ainsi dire ! Sa vie est en suspens et peut reprendre à tout moment, à condition que la température augmente. La mort n’est donc pas la fin permanente de la vie.
  • Un jour, la chenille deviendra papillon. Ce jour-là, la chenille cessera de vivre. Mais sera-t-elle morte pour autant ? Il est plus naturel de penser qu’elle existe alors sous la forme d’un papillon. Elle ne vit plus (une chenille est une chenille!), mais elle n’est pourtant pas morte. Il s’agit d’un autre problème pour notre définition.
  • Les amibes se décuplent. Lors de la fission binaire, deux organismes résultent de la séparation d’une amibe. L’organisme initial ne vit plus. Or, il n’est pas clair qu’il soit mort. Cela laisse à penser que la mort n’est pas la fin de la vie.

Aussi farfelus ces exemples semblent-ils, ils sont aussi réels que les papillons et les amibes. Ils invitent à douter de la définition la plus prometteuse de la mort, du moins selon une perspective biologisante. Faut-il en conclure que la mort est indéfinissable ?

2. La détresse face à la mort

Pour la plupart d’entre nous, la mort est une source de tristesse, d’angoisse et de désespoir. Le cœur meurtri à la perte d’un être cher, la douleur atroce du deuil nous envahit. L’idée de notre propre mort et de celle de nos proches nous afflige et nous épouvante. Ces émotions de détresse face à la mort sont naturelles. Sont-elles justifiées pour autant ? Que faudrait-il ressentir face à la mort ? Commençons par clarifier cette question philosophique ancestrale.

a. Que ressentir face à la mort ?

La question de savoir si notre détresse face à la mort est appropriée présuppose que les émotions puissent être (in)justifiées. Imaginez que Marie soit terrifiée par un chiot inoffensif. Intuitivement, sa peur est injustifiée : elle n’a rien à craindre car le chiot ne lui fera aucun mal. En généralisant et simplifiant tantôt, éprouver une émotion négative est justifié lorsque nous sommes confrontés à une situation mauvaise ou négative (par exemple, un danger, une souffrance, etc.). Ainsi, avoir peur d’un maffieux nous menaçant serait justifié. La question de savoir si le désarroi face à la mort est approprié peut donc être reformulée ainsi : la mort est-elle mauvaise ?

Certes, cela dépend de ce que l’on entend par le terme « mort », ce qui nous amène à une deuxième clarification. Le concept de mort est ambigu; il peut référer (i) à un processus (mourir), (ii) à l’état qui s’ensuit de ce processus (être mort) ou (iii) à la propriété de la plupart des êtres vivants de mourir un jour (la mortalité). La mort en tant que processus peut indéniablement être mauvaise. Par exemple, certaines maladies mortelles sont terriblement douloureuses. Redouter un tel processus serait approprié. La question la plus intrigante est celle de savoir si l’ état d’être mort peut être mauvais.

Encore faut-il préciser pour qui la mort peut-elle être mauvaise, ce qui nous invite à introduire une dernière clarification. La mort d’une personne peut clairement nuire à son entourage. Être bouleversé par la mort d’un proche est donc justifié (§4). Mais la mort peut-elle nuire au défunt ? Est-il approprié de redouter ou d’être affligé par notre propre mort ? Il s’agit là de la question la plus controversée.

b. Le mal de la mort comme privation des biens

Intuitivement, la réponse à cette question semble affirmative. La vie est remplie de belles choses, telles que l’amour, l’amitié, le savoir, l’art, etc. Or, la mort nous prive de ces biens à jamais. La mort est donc mauvaise en ce qu’elle nous prive des biens ou joies de la vie (Nagel 1986; Feldman 1992; Fischer 2009). Par conséquent, ressentir des émotions négatives face à notre propre mort et pour les défunts est justifié. Notre détresse est à l’image de la perte des biens endurée.

Cette conception explique aussi pourquoi la mort est parfois une bonne chose ou, du moins, un moindre mal. Lorsqu’une personne souffre d’une grave maladie, la mort la privera des plaisirs de la vie mais aussi de douleurs inévitables. Dans ce cas, mourir semble être une bonne chose ou, du moins, une meilleure chose que survivre. Par contraste, imaginez que vous mourriez demain, alors que vous aviez la vie devant vous. Cela serait dramatique, car la mort vous priverait des biens de la vie.

Aussi intuitive cette conception soit-elle, elle a attiré les foudres de nombreux philosophes depuis Epicure. Selon celui-ci, la détresse face à la mort est basée sur une illusion. La mort n’est rien pour nous. Une fois mort, plus rien ne nous atteindra. La mort ne peut donc nous nuire. La philosophie nous enseigne à nous libérer de notre angoisse face à la mort. Présentons plus précisément trois arguments épicuriens allant à l’encontre de l’idée selon laquelle la mort peut être mauvaise pour le défunt.

c. Arguments épicuriens I : L’inexistence prénatale

Selon Lucrèce, la nature nous tend un miroir apaisant nos troubles face à la mort. Avant notre naissance, nous avons été privés de nombreux biens, tels que les banquets médiévaux, la première de Hamlet , etc. Cela ne nous trouble pas et rares sont ceux qui s’affligent de ne pas être nés plus tôt. Or, une fois morts, nous retournerons à l’état d’inexistence dans lequel nous étions avant de naître. L’inexistence posthume est à l’image de l’inexistence prénatale : tous deux sont des états d’inexistence dans lesquels nous sommes privés des biens de la vie. Notre vie n’est qu’une parenthèse entre ces deux formes d’inexistence. Par conséquent, notre attitude face à la mort devrait être la même que notre attitude face à l’inexistence prénatale, à savoir l’indifférence ou l’absence de trouble. Cet argument est-il convaincant ?

Certains estiment qu’à l’image de notre désarroi face à la mort, nous devrions être affligés d’avoir été privés des biens avant notre naissance (Feldman 1992). Mais cela semble fort de café étant donné que peu d’entre nous regrettent de ne pas être nés plus tôt.

Il est plus naturel d’insister sur la différence entre l’inexistence prénatale et l’inexistence posthume. Selon Nagel (1986), nous n’aurions pas pu naître auparavant. Par contre, rien n’empêche que la mort d’une personne advienne plus tard. Si Elsa n’avait pas été victime d’un attentat, elle serait morte plus tard. Cette différence expliquerait l’asymétrie entre nos attitudes face aux deux formes d’inexistence. Toutefois, il est raisonnable d’en douter. Mes parents auraient pu se rencontrer une année plus tôt et me concevoir plus tôt. J’aurais donc pu être né auparavant. Est-ce à dire que j’aurais été quelqu’un d’autre ? N’aurais-je pas pu naître auparavant et devenir la personne que je suis ?

La réponse la plus influente à l’argument susmentionné recourt aux biais temporels. Imaginez que vous deviez choisir entre éprouver une certaine douleur dans le passé ou dans le futur. Vous préféreriez sans doute la douleur passée à la douleur future. Cela suggère que nous préférons les maux passés aux maux futurs. L’asymétrie entre notre attitude face à l’inexistence prénatale et posthume ne serait qu’une instance de ce biais (Fischer & Brueckner 1998). Mais ce biais n’est-il pas irrationnel ?

d. Arguments épicuriens II : L’absence de sensations

L’un des arguments épicuriens contre le mal de la mort repose sur la notion de sensation. Intuitivement, une chose est mauvaise pour nous parce qu’elle suscite des sensations négatives et nous fait souffrir. Par exemple, une rage de dent est une mauvaise chose en vertu de la douleur endurée. Or, une fois morts, nous n’éprouverons plus de sensations : la mort implique l’absence d’expérience. Par conséquent, notre mort ne peut être mauvaise pour nous. La condition pour être un mal n’est simplement pas remplie.

Cet argument repose sur l’idée qu’une chose est mauvaise pour nous seulement si elle nous fait souffrir. Toutefois, certains maux ne nous font portant pas souffrir (Nagel 1986). Imaginez que mon épouse me trompe à mon insu. Cela est mauvais pour moi. Néanmoins, n’en étant pas conscient, cela ne me fait pas souffrir. Une chose peut donc être mauvaise pour nous en l’absence de souffrance. Et si la mort en faisait partie ?

Certains ont rétorqué que le cas de la mort n’est pas comparable. Il m’est possible de découvrir que mon épouse me trompe, ce qui me ferait alors souffrir. Par contre, une fois morts, nous ne pourrons souffrir d’aucun mal. Cela nous amène à un troisième défi.

e. Arguments épicuriens III : L’inexistence

Intuitivement, une chose est mauvaise pour une personne lorsque celle-ci est victime de ce mal. Or, les défunts n’existent plus. Par conséquent, la mort ne peut être mauvaise pour eux. Comment la mort pourrait-elle être nuire en l’absence de victimes et de personnes lésées ?

Cet argument est intuitif. Toutefois, il exclut la possibilité de maux posthumes (Luper 2013). Imaginez qu’un artiste ait passé toute sa vie à écrire un roman sans le publier de son vivant. Après sa mort, le roman est enfin publié et remporte un prix prestigieux. N’est-ce pas une bonne chose pour cet artiste, bien qu’il soit mort ? Au contraire, imaginez que quelqu’un détruise son roman. Cela semble nuire à cet artiste, quand bien même il soit mort. L’idée de maux posthumes n’est pas si farfelue. Et si la mort était le premier de ceux-ci ?

Ceci dit, l’idée selon laquelle la mort nuit aux défunts soulève un problème concernant le temps (Johansson 2013). Les maux adviennent à un moment donné. Quand est-ce que la mort nuit aux défunts exactement ? Elle ne peut nous nuire tant que nous vivons, puisque nous ne sommes pas encore morts. Elle ne peut nous nuire après la mort, puisque nous n’existerons plus à ce moment-là. Nous nuit-elle à l’instant-même de la mort ? Est-ce un tort advenant à un temps indéfini ou dont nous sommes toujours victimes ? Il s’agit d’autant d’options que les partisans du mal de la mort se doivent d’examiner.

3. L’immortalité

La mort nous afflige à tel point que nombreux d’entre nous souhaitent l’immortalité.

Mais l’immortalité serait-elle réellement désirable ? Dans une pièce de Čapek, Věc Makropulos (« L’affaire Makroupoulos »), Elina Makropulos a bu l’élixir d’immortalité. Elle est rongée par l’indifférence et l’ennui. Plus rien ne l’anime. Elle est lasse de vivre. Tout ce qu’elle souhaite est mourir. Selon Williams (1973), ce cas nous apprend que notre désir d’immortalité est infondé. Une vie éternelle serait trop ennuyeuse pour valoir la peine d’être vécue.

L’immortalité est-elle inévitablement source d’ennui et de lassitude ? De nombreux plaisirs, tels ceux que nous procurent l’art, l’amour ou l’amitié, sont inépuisables. Ne continuerions-nous pas de les apprécier dans une vie immortelle (Fischer 1994, 2013) ? D’ailleurs, vivre éternellement n’implique pas que notre vie soit idyllique : certaines vies sont remplies d’embûches. À l’image de nos vies, vivre éternellement n’est donc pas nécessairement gage de pur plaisir et n’implique pas que nous épuisions les joies de la vie. Toutefois, une vie immortelle est infiniment longue : elle dure éternellement . Ne serions-nous pas inéluctablement victimes d’un mortel ennui ? Après tout, certaines personnes sont déjà blasées à cinquante ans. Qu’en serait-il si la vie ne s’arrêtait jamais (Temkin 2008) ? Notre existence ne perdrait-elle pas tout son sens ?

4. À quoi bon le deuil ?

Le deuil est une réaction naturelle à la mort d’un être cher. Toutefois, son bien-fondé a soulevé des controverses. Puisque le deuil nous empêche de mener une vie normale, ne satisfait-il pas les critères d’une maladie mentale (Wilkinson 2000) ? De façon moins extrême, l’on pourrait se demander si le deuil est une attitude raisonnable (Gustafson 1989). Lorsque nous sommes en deuil, nous croyons que la perte de l’être cher est irrémédiable. Or, nous désirons éviter cette perte. Ainsi, certains recherchent la personne défunte et désirent avidement la retrouver. Le deuil implique donc des attitudes conflictuelles : nous désirons éviter une perte que nous savons être inévitable. D’aucuns en ont conclu que le deuil est irrationnel et futile.

Certains philosophes ont tenté de rendre justice au bien-fondé du deuil. Ainsi, Price (2010) distingue deux phases du deuil. Dans la phase anxieuse, la personne en deuil désire éviter la perte et recherche le défunt, ce qui est irrationnel. Or, dans la phase de désespoir, nous désirons éviter des pertes futures, ce qui est rationnel. D’autres estiment que le deuil est rationnel pour autant qu’il corresponde à une perte, ce qui est une affaire indépendante de nos désirs (Cholbi 2016). Ainsi, certaines personnes en deuil ne désirent pas que le défunt soit encore vivant (par exemple, si le défunt souffrait d’une grave maladie). Toutefois, leur deuil est rationnel car il est l’expérience d’une perte. Ce débat dépend de la nature du deuil, un sujet sur lequel les philosophes se sont penchés de près dernièrement (Cholbi 2015).

Enfin, une autre question entourant la rationalité du deuil concerne la résilience. Imaginez qu’un proche, par exemple votre compagnon, meure demain subitement. Ne seriez-vous pas bouleversés ? N’auriez-vous pas besoin d’un long moment avant de reprendre une vie normale ? En réalité, selon les études psychologiques, cette prédiction s’avère souvent fausse. De nombreuses personnes se remettent de la mort d’un proche en quelques mois seulement, un phénomène appelé « résilience » (Bonanno 2010). Certains estiment se sentir même mieux qu’avant le décès ! Ces résultats sont déconcertants. N’est-il pas accablant que nous nous remettions aussi vite de la mort d’un proche ? Pourquoi cette idée nous dérange-t-elle ? Indique-t-elle que nous n’aimions pas le défunt ou que nous ne comprenons pas la perte endurée (Moller 2007) ? L’amour implique-t-il le devoir moral de souffrir la torture du deuil ?

 Conclusion

La mort nous trouble. Qu’est-elle ? Que ressentir à son égard ? Prive-t-elle la vie de son sens ? À quoi sert le deuil ? En plus de ces questions et d’autres, la mort soulève de nombreux débats plus appliqués concernant l’avortement, le suicide, l’euthanasie, le meurtre, la guerre ou le végétarianisme. L’au-delà et ses énigmes sont au cœur de nos vies. Il vaut la peine d’y penser minutieusement.

Bibliographie 

* Sont marqués d’une astérisque les ouvrages introductifs, œuvres classiques ou manuels couvrant la plupart des questions de la philosophie de la mort.

Bonnano, G. A. (2010). The Other Side of Sadness: What the New Science of Grief Tells Us about Life after Loss. New York: Basic Books. Une œuvre influente en psychologie du deuil, particulièrement sur la résilience ou l’aptitude de nombreuses personnes à se remettre de la mort d’un être cher en peu de temps.

*Bradley, B., Feldman, F. & Johansson, J. (éd.). (2013). The Oxford Handbook of Philosophy of Death . Oxford: Oxford University Press. Manuel introduisant en détail les diverses questions de la philosophie de la mort (définition de la mort, mort et identité personnelle, le mal de la mort, Epicure, l’immortalité, le meurtre, l’avortement, la peine capitale, etc.).

Cholbi, M. (2016). “Grief’s Rationality, Backward and Forward”, Philosophy and Phenomenological Research , 93 (3): 1-18. Une défense de la rationalité du deuil.

(2015). “Grief”. In The International Encyclopedia of Ethics , édité par H. LaFollette. Hoboken: Wiley-Blackwell. Un aperçu des questions philosophiques entourant le deuil.

*Epicure. [1987]. Lettres et maximes . Traduit par Marcel Conche. Paris : Presses Universitaires de France. Le remède classique à la peur de la mort.

Feldman, F. (1992). Confrontations with the Reaper. A Philosophical Study of the Nature and Value of Death. New York: Oxford University Press. Œuvre influente au sujet de la définition de la mort et du mal de la mort.

Fischer, J. M. (2013). “Immortality”. In The Oxford Handbook of Philosophy of Death , édité par B. Bradley, F. Feldman and J. Johansson. New York: Oxford University Press. Un aperçu des arguments pour et contre l’immortalité.

(2009). Our Stories. Essays on Life, Death, and Free Will. New York: Oxford University Press. Œuvre influente au sujet du mal de la mort et de l’immortalité.

-­‐ (1998). (with A. Brueckner). “Being Born Earlier”, Australasian Journal of Philosophy , 76 (1): 110-114. U ne réponse à l’argument de Lucrèce concernant l’asymétrie entre l’inexistence prénatale et l’inexistence posthume.

-­‐ (1994). “Why Immortality Is Not So Bad”, International Journal of Philosophical Studies , 2, 257-70. Une défense de la valeur de l’immortalité.

-­‐ *(éd.). (1993). The Metaphysics of Death . Stanford: Stanford Series in Philosophy. Une collection présentant les textes fondateurs de la philosophie de la mort.

Gustafson, D. (1989). “Grief”, Noûs , 23, 457-79. Texte fondateur du débat contemporain sur la rationalité du deuil.

Johansson, J. (2013). “The Timing Problem” . In Bradley, B., Feldman, F. & Johansson, J.

(éd.). The Oxford Handbook of Philosophy of Death . Oxford: Oxford University Press. Une présentation du problème temporel posé par le mal de la mort.

 *Lucrèce. [1993]. De la nature. De rerum natura , Traduit par José Kany-Turpin. Paris, Aubier. Le poème classique présentant les arguments épicuriens contre la peur de la mort, y compris l’argument de l’asymétrie.

*Luper, S. (éd.). (2014). The Cambridge Companion to Life and Death. Cambridge: Cambridge University Press. Un manuel présentant les questions principales de la philosophie de la mort (définition de la vie et de la mort, mal de la mort, problème du temps du mal, de l’asymétrie, des maux posthumes et diverses questions bioéthiques).

-­‐ (2013). “Retroactive Harms and Wrongs”. In Bradley, B., Feldman, F. & Johansson, J. (éd.). The Oxford Handbook of Philosophy of Death . Oxford: Oxford University Press. Exposé du problème des maux posthumes.

Moller, D. (2007). “Love and Death”, Journal of Philosophy , 104 (6): 301-316. Texte fondateur de la philosophie de la résilience ou de la question de notre embarras face au fait que de nombreuses personnes se remettent rapidement de la mort d’un proche.

*Nagel, T. (1986). “Death”. In The View From Nowhere . Oxford: Oxford University Press. Texte fondateur de la philosophie contemporaine de la mort défendant le mal de la mort contre l’argument épicurien de la sensation.

Price, C. (2010). “The rationality of grief”, Inquiry 53 (1): 20-40. Une défense de la rationalité du deuil.

Temkin, L. S. (2008). “Is living longer living better?”, Journal of Applied Philosophy , 25 (3): 193-210. Essai exprimant des doutes quant à l’idée selon laquelle vivre plus longtemps ou éternellement soit une bonne chose.

Wilkinson, S. (2000). “Is ‘normal grief’ a mental disorder?”, The Philosophical Quarterly , 50, 289-304. Article explorant l’idée selon laquelle le deuil satisfait les critères d’une maladie mentale.

*Williams, B. (1973). “The Makropulos Case: Reflections on the Tedium of Immortality”. In Problems of the Self . Cambridge: Cambridge University Press. Article fondateur défendant la thèse selon laquelle l’immortalité serait ennuyeuse.

Federico Lauria Columbia University in the City of New York & Université de Genève [email protected]

Titre de l'article

Date de publication, identifiant, other media.

Lauria, Federico. « Mort (GP) ». Maxime Kristanek, L'encyclopédie philosophique , consulté le 14 avril 2024, https://encyclo-philo.fr/mort-gp

La-Philosophie.com : Cours, Résumés & Citations de Philosophie - "Il ne faut pas apprendre la philosophie, mais apprendre à philosopher !"

La Mort en philosophie

Les philosophes et la mort:.

Dans l’Antiquité, l’Epicurisme pulvérise littéralement cette notion et l’évacue : la mort n’est rien . La position d’ Epicure est réactualisée, à l’époque moderne, par Sartre , qui éconduit l’idée même de mort en la posant en dehors du projet existentiel, tandis que Heidegger s’efforce de la retrouver au plus profond de notre expérience (l’être-pour-la-mort).

Du latin mors , la mort s’entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition nous est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.  Dans son sens philosophique maintenant, elle fut considérée successivement par une pluralité d’auteurs.  Platon l’a ainsi définie comme le terme d’une vie terrestre et l’accès à un monde idéal. Epicure ou encore Lucrèce , l’ont défini comme la dissolution de l’âme et du corps (approche matérialiste). Heidegger l’envisage comme la forme même de la vie humaine, considérée dans sa finitude ; cette forme saisie et assumée, permet l’accès à l’authenticité. Enfin, Sartre, voyait la mort comme un fait sans aucune cause ontologique.

Définitions de Philosophes :

–          Platon :

[La mort], «  est-ce autre chose que la séparation de l’âme d’avec le corps ? On est mort, quand le corps, séparé de l’âme, reste seul, à part, avec lui-même, et quand l’âme, séparée du corps, reste seule, à part, avec elle-même »…

–          Epicure :

« Familiarise-toi avec l’idée que la mort n’est rien pour nous, car tout bien et tout mal résident dans la sensation : or, la mort est la privation complète de cette dernière […]. Ainsi, celui des maux qui fait le plus frémir n’est rien pour nous, puisque tant que nous existons, la mort n’est pas, et que la mort est là où nous ne sommes plus. »

–          Hegel :

« La mort, si nous voulons nommer ainsi cette irréalité, est la chose la plus redoutable […]. Ce n’est pas cette vie qui recule d’horreur devant la mort et se préserve pure de la destruction, mais la vie qui porte la mort, et se maintient dans la mort même, qui est la vie de l’esprit ».

–          Schopenhauer :

« La mort est le moment de l’affranchissement d’une individualité étroite et uniforme, qui, loin de constituer la substance intime de notre être, en représente bien plutôt comme une sorte d’aberration. »

–          Heidegger :

« Cette fin que l’on désigne par la mort ne signifie pas, pour la réalité-humaine, être-à-ma-fin, être –finie ; elle désigne un être pour la fin, qui est l’être de cet existant. La mort est une manière d’être que la réalité-humaine assume, dès qu’elle est : Dès qu’un humain vient à la vie, déjà il est assez vieux pour mourir. »

–          Sartre :

[La mort] «  N’est pas seulement le projet qui détruit tous les projets et qui se détruit lui-même […]. Elle est le triomphe du point de vue d’autrui sur le point de vue que je suis sur moi-même. »

« La Mort représente le sens futur de mon pour-soi actuel pour l’autre. »

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49 Comments

sujet dissertation philo mort

c’est bon

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la mort ne peut êtres décrite car c’est une chose inconnue

d’ailleur nous ne pouvons décrire quelques chose sans l’avoir experimenter

comme le dit LOCK “La connaissance de l’homme ne peut pas s’étendre au-delà de son expérience propre”

  • Ping : Le Darwinisme en philosophie

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Nous portons le virus de la mort en nous. Nous le nourrissons chaque jour pour accélérer notre mûrissement. Le fruit tombe vert. Des fois, rongé par ses vers,il se détruit sur la branche. Et, par chance, alourdi par le poids des âges, il n’aspire plus qu’au repos éternel.

C’est quoi LOCK …? 🙂

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La mort qqch qui nous intrigue, qui nous interpelle assez souvent, mais on pense à la mort une fois quand on entend parler d’une personne qui n’est plus là, on dit souvent tu sais tel personne il est mort hier? tu as vue… Concernant la mort il faut admettre que chacun de nous, doit s’acquitter de cette dette, la mort est unique, universelle quelque soit notre statut social on est tous égaux devant la mort. La différence se résume dans comment on va mourir? et où on va mourir? Moi et vous on sait tous où on est né, mais on ne sait et on ne le sera jamais dans quel coin du monde on va mourir? Kant disait la connaissance, le savoir quand il s’inscrit en dehors du (temps-espace) le savoir deviens impossible la raison humaine tombe dans le doute. La question qui se pose, comment on va surmonter cette épreuve qui nous sépare d’un être assez cher avec qui on a partagé des moments de joie, de tendresse, de désaccord, avec qui on a vécu pendant bien longtemps? Orpheline,Orphelin avec des enfants à charge faire son deuil n’est pas assez facile, pour nous aider à oublier avec les jours qui passent il faudra être entourer avec les membres de la famille, des amis pour enfin essayer de passer du vivre à l’exister, l’ouverture sur le monde extérieure est une étape pour prendre goût à la vie….

la mort à toujours tort car elle décide du sort ultime de notre corps

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La mort n’est que la disparition d’un chainon qui a accompli sa tâche. Notre peur lui donne les proportions que les philosophes essaient de sonder vainement. Tout vivant ne continue à exister qu’à travers le même processus : naître, grandir, donner naissance à une progéniture et disparaître.

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La mort,est une improvisation

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La mort c’est une chose inconciente.

un jour la mort nous atteindra tous

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La mort est un manque de foi

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la mort est le juge qui a le dernier mot sur notre existence, elle nous appelle quand elle besoin de nous…

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La mort, fait parti de notre examen, dont chaque être devrait propager uniquement de La Joie et de L’Amour pour Dieu. En sachant bien évidemment, que seul un Miroir peux être le Reflèt de ton âme Saint/Mal-Saint….

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La Mort est le reflèt de la Vie. Donc l’être humains doit obtenir le savoir de survivre muni d’un miroir…!!!

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la mort est un reveil brusque de mon sommeil réel ,alors je rêve ne me réveillez pas

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la mort est devenu un rendez vous obligatoire pour l homme!! la mort ne gere pas no classes sociales! vanite des vanite le monde est vanite

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La mort nous sépare en trois entités, le corps, l’esprit,l’âme. Nôtre corps reste terrestre, l’esprit et l’âme sont restitué à la pensée universelle. Nous suggéreront une errance éternel dans un infini, qui peut-être nous permettraient de passer un temps impossible à définir pour évaluer si oui ou non. Nous devrions réintègre un corps à l’instant même de ça conception. Et cette instant serait la fin de de nôtre vie de liberté de l’esprit et de l’âme.

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“””L’homme ne doit pas craindre la mort Mais il se doit d’avoir peur de mourir””.

Ne pas craindre la mort ne sous entend pas la précipité, il faudrait être idiot pour en venir a bout de soit, être en carence de vertu morale ou un manque des religion. Enfin la mort est une fatalité alors pour quoi la craindre car elle nés rien pour nous.

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La mort apprend à vivre. Plus notre esprit se rapproche de la pensée mortelle, plus nous sommes à même d’exister paisiblement. C’est une condition: les choses sont éphémères, et sa conscience nous fait ou plonger dans le présent ou fuir la réalité par quelque illusion spirituelle. Mais que dis-je! Certainement pas la vérité.

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Il faudrait peut-être aussi s’interroger sur la mort de l’orthographe. Que de fautes, que de fautes ! et même dans le texte d’introduction :Epicure ou encore Lucrèce, l’ont définis – pourquoi ce s ?

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C’est toujours l’autre qui meurt. Un mort ne sait pas qu’il est mort. La mort en soi n’est que fruit de notre imagination. Ce qui nous fracasse c’est la conscience de la mort.

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Il y a deux façons de mort. D’abord, la mort physique, biologique, c’est à dire, la fin des processus biochimiques qui permettent à l’être vivant de réalizer ces actions. Mais, pour l’homme, ou mieux, pour l’être humain, la mort c’est la fin aussi du monde pour soi, un monde subjectif, qui dépendait du corps. Quand toute l’humanité meurt, le monde disparait, il reste en soi, inert. Le monde disparaît, parce que le monde pour l’homme c’est le monde possible.

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Pourquoi !!?

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Une expérience c’est le fait d’éprouver quelques chose ou épreuve vécu d’un point de vue personnel. Si l’on considère la mort comme la fin de la personne en soit, peut-on considérer la mort comme une expérience?

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Tout ce qui a un début aura une fin . Nous sommes nés , nous mourons et ainsi va la vie .

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Que vaut la mort face à un être dépourvue d’âme? Celui ci ne vit déjà point, alors qu’elle pourrait être sa fin? Cependant, un corps ne peut pas bouger sans âme, qu’est-ce qui habite un homme qui pour lui la mort n’est rien? D’après de nombreux scientifique, l’âme est comme une lumière traversant nos cellules, ce pourrait-il qu’un être sans lumière et qui n’as que pour seul existence le vide puisse existé?

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Penser à ce que c’est que la mort nest pas la tâche qui nous incombe, donner justement un sens à sa vie, c’est l’important

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L’expérience sur la mort ne saurait se limiter au seul caractère sensualiste de celle-ci. Est définie comme expérience: cette pratique d’acquisition avec le temps d’un savoir sommaire sur la vie et plus précisément sur la connaissance. Comme phénomène, la mort ne s’éprouve pas afin d’annoncer son inaccessibilité. Elle intègre le monde du savoir. En tant que telle, elle se pose à coté de la vie dans une expérience qui allie à la fois sensualité et intelligibilité

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Bonsoir pour contredire un peu ton argument je pourrai dire que la mort n’est jamais devenu un rendez-vous pour l’etre Vivant mais qu’elle est un rendez-vous car depuis la création du monde aucun n’etre Vivant n’a pu manqué le rendez-vous de la mort qui a commencé à exister en même temps que nous et pour finir je dirai chaque chose qui naît vit et meurt ensuite

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La vie est ce sage conseillé que tous les hommes écoutent.

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On peut considérer la mort (sa mort) comme une expérience que si l’on est capable de la ressentir de de la réfléchir, cela nécessite donc un après à la mort. En revanche le simple fait de voir une personne mourir n’est en aucun cas une expérience de la mort, on n’éprouve uniquement le sentiment d’absence de l’autre et les émotions/sensations qui lui sont liées. De plus, on est, n’étant jamais été confrontés à sa propre mort de son vivant, incapable de la visualiser, de l’imaginer. L’imagination semblant (jusque là) être limitée par les expériences. Or on ne peut ni s’imaginer un après à la vie autre que la vie elle-même (il n’y a alors plus de mort), ni le néant, puisqu’on ne les a jamais ni expérimentés, ni même effleurés.

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La mort est début de la vraie vie.

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La mort est la mort de la mort.

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La mort n’est que l’arrêt du fonctionnement du corps ,cette partie concrète de nous, mais la partie abstraite c’est à dire la pensée, la conscience ,les sentiments etc, personne n’a la preuve de l’arrêt de son fonctionnement, ni de l’endroit où elle est, ni même du temps où elle est. Je crois que cette partie abstraite continue dans un autre monde.

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Trop vrai !

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Très pertinent , mais je pense aussi que la vie et la mort sont deux phénomènes bien qu’opposés ne sont qu’une seule et même entité , l’un n’ayant pas de sens sans l’autre

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La mort? La mort ce serait la désorganisation, l’entropie… Apparemment… Pour moi c’est d’abord la cessation des sens et du temps… Très simplement non perçu par les sens. Dès lors, immobile mais véhiculé par notre planète non éternelle elle même et promise à sa division en éléments irréductibles (quarks par exemple) les infimes parties temporelles sont semblables à ses plus grandes valeurs et tributaires du déplacement des particules… A la vitesse de la lumière le temps n’existe plus. Or donc se pose la question de la conscience… Est-elle attachée à la matière??? D’aucuns parleraient alors d’âme! Si donc nos plus infimes composants matériels sont les supports de notre conscience il est possible qu’entre le moment où nous cessons de vivre et la réorganisation des particules chargées d’âme en un être conscient il n’y ait pas de temps… En d’autres termes la mort ne serait rien puisque nous renaîtrions immédiatement dans des espaces-temps différents! Mais il est sans doute plus probable qu’aucune conscience ne soit attachée à la matière (toutes les actions humaines en font la démonstration). Dès lors la mort, retour à la matière sans conscience, n’est pas si effrayante puisque le léthé baudelairien le régit… La mort finalement apparait comme un hâvre de paix…. éternel!

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la mort est la cessation de toute sensation En ce sens je voulais tout simple dire que l’idée de la mort est abstraite . Ce qui est sûre il est important de bien comprendre ce concept car une mauvaise comprehention de ce concept peut nous rend malheureux.en effet n’est -il pas possible de dire que la mort c’est la fin de la vie car tout ce qui est vivant possede de la sensation??

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Montesquieu (1689/1755)’  « il faut pleurer les hommes à leur naissance et non à leur mort » Lettres Persanes Vous vous permettez d’affirmer que les philosophes essaient de sonder vainement ce sujet !!!Mais qui êtes vous pour vous permettre d’ecrire celà. A vous lire, vous êtes un individu d’une grande ignorance, dangereux dans vos propos d’une grande vulgarité Arrêtez de parler au nom des autres. Garder vos peurs pour vous mêmes. En lisant vos infâmes propos vous êtes tout sauf un vivant, alors ne vous permettez pas de parler, et encore moins penser au nom des autres. Gardez vos propos à deux balles qui sont très loin du sujet. Évitez de diffuser vos vérités de merde qui ne regardent que vous. Pitoyable, votre place est dans une fosse septique……

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Mourir c’est entrer dans l’Histoire, comme dans un mur.

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La peur est un sentiment de vivant, on ignore la réaction d’un mort. C’est le mystère des morts. Dans la mort on oublie le vivant et son désarroi! Oui que ce qu’il fait ? Il s’est débarrassé de cette personne qui chère à lui parce que n’a plus d’utilité ou bien il l’a mis sur le chemin d’une autre vie. Rentrer chez soit seul après l’avoir mis sous terre. Seul dans son lit, le WC et la douche que pour lui, qui va marquer l’heure des repas. Le vivant il est mort sur terre, personne a marché derrière lui il mort sans funérailles

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Bonsoir. Il faut bien corriger quelque chose. C’est que, la mort n’a pas commencé à exister en même temps que nous mais elle est venue après l’homme.

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Qu’est-ce qui te fait dire ça?

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Alors a quoi sert de vivre et comment vivre quand l’être aimé est mort ; comment combler le vide que veut dire mort c’est un mot froid et sans aucun sens

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Chose inconnue, je n’y pense guère !? Cette dernière est d’une autre manière connue à travers son arrivée pour certaines de nos connaissances.

La mort n’est rien d’autre que la séparation de deux entités l’une physique et l’autre métaphysique : celle physique est la rupture ou la cessation de vie des organes vitaux (corps) facilitant la décomposition de la matière organique. Celle dite métaphysique est la naissance dans le monde invisible ou spirituel mettant en exergue l’âme.

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19th Edition of Global Conference on Catalysis, Chemical Engineering & Technology

Victor Mukhin

  • Scientific Program

Victor Mukhin, Speaker at Chemical Engineering Conferences

Title : Active carbons as nanoporous materials for solving of environmental problems

However, up to now, the main carriers of catalytic additives have been mineral sorbents: silica gels, alumogels. This is obviously due to the fact that they consist of pure homogeneous components SiO2 and Al2O3, respectively. It is generally known that impurities, especially the ash elements, are catalytic poisons that reduce the effectiveness of the catalyst. Therefore, carbon sorbents with 5-15% by weight of ash elements in their composition are not used in the above mentioned technologies. However, in such an important field as a gas-mask technique, carbon sorbents (active carbons) are carriers of catalytic additives, providing effective protection of a person against any types of potent poisonous substances (PPS). In ESPE “JSC "Neorganika" there has been developed the technology of unique ashless spherical carbon carrier-catalysts by the method of liquid forming of furfural copolymers with subsequent gas-vapor activation, brand PAC. Active carbons PAC have 100% qualitative characteristics of the three main properties of carbon sorbents: strength - 100%, the proportion of sorbing pores in the pore space – 100%, purity - 100% (ash content is close to zero). A particularly outstanding feature of active PAC carbons is their uniquely high mechanical compressive strength of 740 ± 40 MPa, which is 3-7 times larger than that of  such materials as granite, quartzite, electric coal, and is comparable to the value for cast iron - 400-1000 MPa. This allows the PAC to operate under severe conditions in moving and fluidized beds.  Obviously, it is time to actively develop catalysts based on PAC sorbents for oil refining, petrochemicals, gas processing and various technologies of organic synthesis.

Victor M. Mukhin was born in 1946 in the town of Orsk, Russia. In 1970 he graduated the Technological Institute in Leningrad. Victor M. Mukhin was directed to work to the scientific-industrial organization "Neorganika" (Elektrostal, Moscow region) where he is working during 47 years, at present as the head of the laboratory of carbon sorbents.     Victor M. Mukhin defended a Ph. D. thesis and a doctoral thesis at the Mendeleev University of Chemical Technology of Russia (in 1979 and 1997 accordingly). Professor of Mendeleev University of Chemical Technology of Russia. Scientific interests: production, investigation and application of active carbons, technological and ecological carbon-adsorptive processes, environmental protection, production of ecologically clean food.   

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Why were so many metro stations in Moscow renamed?

Okhotny Ryad station in Soviet times and today.

Okhotny Ryad station in Soviet times and today.

The Moscow metro system has 275 stations, and 28 of them have been renamed at some point or other—and several times in some cases. Most of these are the oldest stations, which opened in 1935.

The politics of place names

The first station to change its name was Ulitsa Kominterna (Comintern Street). The Comintern was an international communist organization that ceased to exist in 1943, and after the war Moscow authorities decided to call the street named after it something else. In 1946, the station was renamed Kalininskaya. Then for several days in 1990, the station was called Vozdvizhenka, before eventually settling on Aleksandrovsky Sad, which is what it is called today.

The banner on the entraince reads:

The banner on the entraince reads: "Kalininskaya station." Now it's Alexandrovsky Sad.

Until 1957, Kropotkinskaya station was called Dvorets Sovetov ( Palace of Soviets ). There were plans to build a monumental Stalinist high-rise on the site of the nearby Cathedral of Christ the Saviour , which had been demolished. However, the project never got off the ground, and after Stalin's death the station was named after Kropotkinskaya Street, which passes above it.

Dvorets Sovetov station, 1935. Letters on the entrance:

Dvorets Sovetov station, 1935. Letters on the entrance: "Metro after Kaganovich."

Of course, politics was the main reason for changing station names. Initially, the Moscow Metro itself was named after Lazar Kaganovich, Joseph Stalin’s right-hand man. Kaganovich supervised the construction of the first metro line and was in charge of drawing up a master plan for reconstructing Moscow as the "capital of the proletariat."

In 1955, under Nikita Khrushchev's rule and during the denunciation of Stalin's personality cult, the Moscow Metro was named in honor of Vladimir Lenin.

Kropotkinskaya station, our days. Letters on the entrance:

Kropotkinskaya station, our days. Letters on the entrance: "Metropolitan after Lenin."

New Metro stations that have been opened since the collapse of the Soviet Union simply say "Moscow Metro," although the metro's affiliation with Vladimir Lenin has never officially been dropped.

Zyablikovo station. On the entrance, there are no more signs that the metro is named after Lenin.

Zyablikovo station. On the entrance, there are no more signs that the metro is named after Lenin.

Stations that bore the names of Stalin's associates were also renamed under Khrushchev. Additionally, some stations were named after a neighborhood or street and if these underwent name changes, the stations themselves had to be renamed as well.

Until 1961 the Moscow Metro had a Stalinskaya station that was adorned by a five-meter statue of the supreme leader. It is now called Semyonovskaya station.

Left: Stalinskaya station. Right: Now it's Semyonovskaya.

Left: Stalinskaya station. Right: Now it's Semyonovskaya.

The biggest wholesale renaming of stations took place in 1990, when Moscow’s government decided to get rid of Soviet names. Overnight, 11 metro stations named after revolutionaries were given new names. Shcherbakovskaya became Alekseyevskaya, Gorkovskaya became Tverskaya, Ploshchad Nogina became Kitay-Gorod and Kirovskaya turned into Chistye Prudy. This seriously confused passengers, to put it mildly, and some older Muscovites still call Lubyanka station Dzerzhinskaya for old times' sake.

At the same time, certain stations have held onto their Soviet names. Marksistskaya and Kropotkinskaya, for instance, although there were plans to rename them too at one point.

"I still sometimes mix up Teatralnaya and Tverskaya stations,” one Moscow resident recalls .

 “Both have been renamed and both start with a ‘T.’ Vykhino still grates on the ear and, when in 1991 on the last day of my final year at school, we went to Kitay-Gorod to go on the river cruise boats, my classmates couldn’t believe that a station with that name existed."

The city government submitted a station name change for public discussion for the first time in 2015. The station in question was Voykovskaya, whose name derives from the revolutionary figure Pyotr Voykov. In the end, city residents voted against the name change, evidently not out of any affection for Voykov personally, but mainly because that was the name they were used to.

What stations changed their name most frequently?

Some stations have changed names three times. Apart from the above-mentioned Aleksandrovsky Sad (Ulitsa Kominterna->Kalininskaya->Vozdvizhenka->Aleksandrovsky Sad), a similar fate befell Partizanskaya station in the east of Moscow. Opened in 1944, it initially bore the ridiculously long name Izmaylovsky PKiO im. Stalina (Izmaylovsky Park of Culture and Rest Named After Stalin). In 1947, the station was renamed and simplified for convenience to Izmaylovskaya. Then in 1963 it was renamed yet again—this time to Izmaylovsky Park, having "donated" its previous name to the next station on the line. And in 2005 it was rechristened Partizanskaya to mark the 60th anniversary of victory in World War II. 

Partizanskaya metro station, nowadays.

Partizanskaya metro station, nowadays.

Another interesting story involves Alekseyevskaya metro station. This name was originally proposed for the station, which opened in 1958, since a village with this name had been located here. It was then decided to call the station Shcherbakovskaya in honor of Aleksandr Shcherbakov, a politician who had been an associate of Stalin. Nikita Khrushchev had strained relations with Shcherbakov, however, and when he got word of it literally a few days before the station opening the builders had to hastily change all the signs. It ended up with the concise and politically correct name of Mir (Peace).

The name Shcherbakovskaya was restored in 1966 after Khrushchev's fall from power. It then became Alekseyevskaya in 1990.

Alekseyevskaya metro station.

Alekseyevskaya metro station.

But the station that holds the record for the most name changes is Okhotny Ryad, which opened in 1935 on the site of a cluster of market shops. When the metro system was renamed in honor of Lenin in 1955, this station was renamed after Kaganovich by way of compensation. The name lasted just two years though because in 1957 Kaganovich fell out of favor with Khrushchev, and the previous name was returned. But in 1961 it was rechristened yet again, this time in honor of Prospekt Marksa, which had just been built nearby.

Okhotny Ryad station in 1954 and Prospekt Marksa in 1986.

Okhotny Ryad station in 1954 and Prospekt Marksa in 1986.

In 1990, two historical street names—Teatralny Proyezd and Mokhovaya Street—were revived to replace Prospekt Marksa, and the station once again became Okhotny Ryad.

Okhotny Ryad in 2020.

Okhotny Ryad in 2020.

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